le paiement (Terminé)

Le scavenger penetra le quartier des mercenaire un peu mal a laise d'y etre, car il etait un humain et il allait vers celui des inhumain. cetait pour lui la premiere fois quil entra dans ce beau quartier. il ne savait pas trop ou mettre la tete avec tout ses gens autent humain que non.

Hans se contenta davancer vers le batiment principale des inhumain. il ne savait pas trop sil serait bien acceuilli ou non.

Will penetra le batiment et regarda autour de lui pour finir a la reception du dit batiment.

-Bonjours, je viens faire le paiement de monsieur Zolvar et madame Miryam, de la part de monsieur William Hans.

Le scavenger ne s'occupait pas des gens autour de lui. il savait tres bien qui en avait que sa presence perturbait et les regarder n'attiserai que le feu de leur coeur pour lui.

Le quartier des mercenaires était constitué de rues sinueuses, de bâtiments propres mais regroupés, ainsi que de larges avenues principales. Les différents secteurs des différentes factions étaient faciles à discerner: celui des Loyals avait une atmosphère presque militaire. Le Scavenger, habitué aux Défenseurs de par son père adoptif, pouvait presque s'y sentir bien. Dans celui des Trigger Happy, une certaine douce folie flottait dans l'air, en plus de la neige. Les patrouilles étaient les plus présentes malgré le froid. C'était tout de même la faction qui comptait l'Élu du secteur dans ses rangs!

Du côté des Inhumains... c'était très différent. Des affiches avaient été posées, provocations directes aux Puristes, qui les insultaient de diverses manières. Quelques fois les insultes étaient très imagés, d'autres, simples et menaçantes. Le bâtiment principal avait, d'ailleurs, une allure plus morne et sobre que les autres. Surtout, les mercenaires qui bravaient le froid observaient beaucoup le Scavenger. Sa cybernétique n'était en rien visible... et il passait facilement pour un humain.

Entrant donc dans le bâtiment, qui était agréablement chauffé, Hans se rendit jusqu'à la réception, qui n'était en fait qu'une table dans l'entrée. Derrière, une Altérée avec des traces de plumes sur sa tête, de couleur bleue cendrés, et des yeux d'un bleu glace perçant, le regarda immédiatement. Un soupçon de scepticisme se glissa sur son expression, et elle fronça les sourcils. Son ton resta courtois, mais avait quelque chose de froid malgré tout.

- Numéro de contrat? Si vous ne l'avez pas, je demanderai à ce qu'on aie chercher l'un des deux...

Les gens autours regardaient attentivement. On voyait autant de traits animaux que d'autres, simplement particuliers. Un homme, vraisemblablement, en armure complète s'était adossé dans l'entrée et observait attentivement William. Dans un autre coin, c'était plutôt un Altéré à la peau blanche comme la neige et aux veines rougeoyantes qui le fixait, de ses yeux tout aussi lumineux.

Evidamment Hans navais pas de numero de contrat. il ne savait meme pas se que setait en faite.

Il fouilla dans ses poche mais ne trouva rien.

-Non je nai pas de numero de contrat, jai poster un contrat a la derniere minute, donc il va falloir appeler quelqun, je crois.

Hans regarda un peut autour de lui et se prit loeil cacher, un pic de douleur venait de lui monter a la tete. on pouvait meme lendendre grogner un moment.

La réceptionniste l'observa alors qu'il fouillait dans ses poches, comme beaucoup d'autres autour. Certains semblaient méfiants, d'autres étaient visiblement prêts à lui bondir dessus. Les Puristes ne cachaient-ils pas toujours leurs armes? Entendant qu'Hans n'avait pas le numéro de contrat, l'Altérée eut un soupir, puis fit signe à son compagnon à la peau blanche comme la neige dehors.

- Kharl, trouve moi Zolvar ou Myriam. Les deux ne sont pas sur le terrain.

Le dénommé Kharl acquiesça et se mit en route. Le mercenaire en armure, lui, s'était sensiblement rapproché, le regard toujours sur Hans. Il semblait devenir l'attraction du moment, le pauvre Scavenger, mais au moins, il ne subissait aucune agression. Pour l'instant.

La réceptionniste ramena son regard sur lui, d'un air un peu blasé, et lui pointa doucement quelques chaises, non loin de son bureau.

- Asseyez-vous là. Ça peut être long. Surtout, rien de louche. Vous sortirez pas d'ici, sinon.

Si elle avait vu les signes de la douleur de Willian, elle n'en faisait rien. Les autres restaient également silencieux dans la salle.

Hans fut deconcerter, mais garda le sourire. il savait que les puriste etait present et arborait leur symbole en plein jours. S'attaquer a la plus grande force de frappe des inhumain serait un choix de taille evidamment. il resta neanmoin sur ses gardes. Nous devons vive comme nous sommes, peut importe la race.

-Aucun probleme.

Oui, il y avait un probleme, tout ces gens qui le fixait devenait un peu stressant.
Il allat vers les chaise de la reception s'assoya doucement dos au mur, face a la porte.
Si quelqun tenterait quoi que se soit, il pourrait fuir rapidement.

Il prit un moment pour arrenger son bandeau. Et puis tenda l'oreille. il etait nerveux certe, mais habituer a se genre de chose du a son metier de scavenger.
Il avait deja hate de partir.

sa curiositer lemporta.

-Quel sont les dernier probleme encourrue par les puriste?

Il ne voulais que se mettre au courent mais aussi aider ces gens de bonne fois.

(sixieme sens)

La réceptionniste le regarda aller, l'air toujours aussi blasé, mais aussi attentif. Visiblement, les Inhumains avaient une dent solide contre l'humanité. N'étaient-ce pas les victimes non-humaines qui s'attiraient les bonnes faveurs d'Emmanuel Greed? Le cher mercenaire l'avait toujours clâmé haut et fort: s'en prendre à un non-humain, c'était s'en prendre à sa famille.

En tendant l'oreille, mais aussi en observant, Hans put entendre quelques conversations, chuchotées plutôt que menées de vive voix. On se demandait d'où William sortait. On se demandait ce qu'il était. Peu importait, au fond, disait un autre. Si le Scavenger avait le malheur de faire une connerie, ils allaient le déchiqueter. D'ailleurs, celui en armure complète le surveillait toujours. Un minois de renard aux grandes oreilles l'observait subtilement, caché dans un couloir adjacent.

Alors qu'Hans posait la question, le silence se fit, mais également, un imposant Altéré alligator entra. Le froid devait être infernal pour lui, et c'était visible: il s'était fait des vêtements longs avec de la fourrure, qui rendaient ses déplacements difficiles. Personne n'osa vraiment répondre, mais tous regardaient Hans. Même le nouvel arrivé, en sentant l'ambiance et en entendant le silence, fixa le Scavenger.

Ce fut un Néorite, semblant sorti de nulle part malgré les sens aiguisés d'Hans, qui lui répondit. Le mercenaire vint s'asseoir près de lui. Plutôt, il bondit sur la chaise et s'accroupit dessus, tout en immobilisant son visage tout près de celui de William. Il avait de grands yeux verts, autant pâles que foncés, qui semblaient sérieux, mais joueurs également. L'habillement complexe su Néorite était différent de ses compères, se trouvant plus moulant et moins composé de draperies que celui des autres membres de sa race. Son masque semblait solidement maintenu en place par de solides sangles, comme la rangée de couteaux à sa ceinture. Il était tout vêtû de noir et affichait une grosse cicatrice sur l'arrête du nez, remontant jusqu'à son front et se perdant sous le tissus.

- Pourrrquoi tu veux savoirrr, hm? Tout l'État est au courrrant. Suffit d'écouter. De sentirrr la chairrr brrrûlée. Ça va mal. Mais perrrsonne ne fait rrrien. Hm.

Le Néorite observa ses compères, eut un petit gloussemen, mais ne bougea pas. Sa voix avait une sonorité exotique, remplie d'accents qui faisaient rouler ses "R". Surtout, elle était grave et prouvait de la maturité de son propriétaire.

- Le fils de Marrrco Meyerrrs devrrrait le savoirrr, n'est-ce pas?

Hans deconcerter par la situation, il prit le silence pour acquis et se tue. Jusqua se que le neorite le regarde a nouveau. Il recula sa tete a cause de la proximiter de son interlocuteur. Mal aiser il repondit presque qu'en begaillant.

-D-Desoler je ne fesait que demander. jetais en dehors de la citer apres l'intercation a la fete.

La nervositer se fesait sentir en lui. setait la premiere fois quil voyais un neorite d'aussi proche.
il fallait quil pese ses mots, il ne voulais pas mettre ses gens en colere pour rien, il n'en sortira peut etre jamais.

Le Néorite sembla amusé par la réaction d'Hans. Infiniment amusé, même. Il n'augmenta pas la distance entre eux deux, de son côté, et se contenta de continuer de le regarder. Un léger gloussement lui échappa, par contre, aux paroles du Scavenger. Il n'avait rien d'hostile en soi... mais on devinait qu'il n'était pas l'habituel Néorite marchand que l'on croise dans la rue.

- Horrrs de la cité. Oui, quelle belle excuse. Quoi qu'il en soit: la situation ne va pas en s'améliorrrant. Les Purrristes sont toujourrrs plus nombrrreux, les gens meurrrent davantages... C'est un joyeux carrrnaval de chairrr brrrûlée. Et nous, pauvrrres merrrcenairrres, n'avons pas le drrroit d'agirrr. Dommage.

Le mercenaire eut justement un autre gloussement, observa autour, puis se mit debout, de manière légèrement présomptueuse. Il se donnait visiblement en spectacle, mais pas pour William: pour tous les autres qui regardaient.

- C'est bon, Durrgas. Je m'occupe de lui. Il ne finirrra pas dans ton ventrrre. De toute façon, si tu lèves la main surrr lui, tu vas finirrr en sac à main!

Son regard vert se fixa sur l'Altéré alligator, qui gronda et s'en fut sans argumenter. Celui en armure complète les observait toujours, mais de loin. Le Néorite lui jeta d'ailleurs un oeil, mais rien d'autre ne se dit dans l'accueil. Tout était de nouveau silencieux.

- Donc, tu dois attendrrre Zayne ou Myrrriam, c'est ça? Que penses-tu deux, fils d'Élu?

Le Néorite s'était de nouveau tourné vers lui et avait croisé les bras, lâchement.

Hans se sentit un peu mal de la reponse et du comportement du neorite, a un tel point quil serra un peu les dent.

-Se sont de bon compagnon de voyage, ils mont bien aider et deplus est tres professionnel.

le petit coter fendant du neorite le fesait rire. certe il est fils delu mais il n'en fit rien pour linstant. surtout il ne sassoyait pas sur ses lorrier.

-Et vous que pensez vous de mon pere, vous avez laire de bien le connaitre.

il fit un sourir narquois en terminant sa phrase.

Le mercenaire devant William eut un gloussement et hocha la tête à sa réponse. Il retourna sur la chaise près de lui, mais s'y assit de manière plus normale, cette fois. Son regard, dans une dégradé de vert, l'étudiait attentivement.

- Ils sont tous les deux trrrès gentils. Zayne... un peu trrrop pourrr son prrroprrre bien.

La question du Scavenger sembla amuser son interlocuteur, au points où il ricana même un peu. Le grattement que produisait son accent dans sa voix rendait son rire assez comique à entendre.

- Comment je trrrouve votrrre pèrrre? C'est une bonne perrrsonne, avec un bon sens de l'honneurrr et de la justice! Son sens de l'humourrr, parrr contrrre... Hihi. Vous devez le savoirrr, non? Un pince sans rrrirrre, ce Meyerrrs... Je ne le connais pas perrrsonnellement, mais je suis bien inforrrmé.

Le Néorite le détailla encore du regard, puis rigola pour lui même, doucement. Dans tous les cas, sa présence près de William semblait avoir calmé les autres mercenaires, qui étaient visiblement moins nerveux et agressifs. Ceux qui surveillaient étaient encore là, par contre, mais ne disaient pas un mot.

Hans sourit au neorite.

-Oui je sais il n'est pas tres humour, mais il reste fier de qui il est et c'est l'important je crois.

Hans baissa la tete un peu, la fatigue surement. il regarda autour de lui chaque individue d'un aire qui voulais tout dire.

-Je suis desoler pour se qui arrive au votre, mais ne me rejeter pas la faute je vous pris, je ne suis pas la pour poser probleme et sa serai mal aviser de vous offrir de l'aide lorsque que je ne le peut. Par contre si je peut vous aider a quoi que se soit faite moi signe et je verrai se que je peut faire.

Le scavenger voulais a tout prit que les gens de la cité se sente bien. c'etait son travail et son devoir.

Hans se croisa les jambe a son habitude et attendit ses ancien compagnon de voyage, ouvert a la discution de son coté.

Le non-humain eut un petit gloussement étrange et acquiesça allègrement à la première phrase du scavenger. Il semblait horriblement amusé dans la situation. Avoir autant de spectateurs l'enchantait au plus haut point, en plus de lui faire passer le temps. Il semblait bien extraverti pour un Néorite, race connue pour sa subtilité.

- Je ne dis pas que c'est votrrre faute. On n'aime pas les humains. C'est norrrmal. Si c'était le contrrrairrre et que les Altérrrés attaquaient les humains, te sentirrrais-tu à l'aise ici, fils d'Élu? Nous voulons surrrvivrrrre et nous avons l'imprrression que l'État s'en fout…

Le regard vert fixa avec intensité le visage de William. On y voyait presqu'une certaine détresse. Les non-humains semblaient réellement craindre pour leur vie, encore plus depuis quelques temps. Même ce Néorite fanfaron en perdait ses manières théâtrales.

Pendant qu'ils parlaient, un imposant Altéré loup s'était glissé dans la pièce, près de la réception, et s'était posté près de la sortie, les bras croisés. Ses oreilles pointaient vers le scavenger et sa truffe travaillait visiblement fort, alors que le regard sauvage dévorait William des yeux.

Hans remarqua la detresse de son interlocuteur. Il n'aimait pas sa, mais n'y pouvait rien.

-Je comprend votre mépris envert les humains, mais je ne crois etre plus a l'abrie, peut etre plus evidamment, mais si cest gens s'attaque a tout se qui est non humain alors je devrais me proteger aussi. on ne sais pas toute leur intention pour l'instant.

Hans soupira un coups, Il voyait sa se passer dans sa citer quil protegait et n'aurait surement pas les autorisation pour faire quoi que se soit, mais il agirrais cest sur.

-Je vais surement me faire tapper sur les doit par mon pere, mais si vous avez besoin je vous informerai des chose que je vois ou j'entant, cest tout ce que je peut faire. et sil vous plait arreter de me regarder comme du betail je vous prit.

Dit-il malaiser par l'alterer loup qui le fixait trop intensement. par contre son ton n'etait aucunement mechant ou severe, juste un bon malaise.

Le Néorite offrit un regard reconnaissant à William et sembla même se calmer un peu. On ne voyait plus de tension chez lui, comme si les paroles du Scavenger l'avaient convaincu de la véracité de ses intentions. Peut-être était-ce le non-parlé de William qui aidait ce mercenaire à se calmer?

- Des inforrrmations, oui… Pourrrquoi pas. Nous en rrreparrrlerrrrons. Tenez, je vais vous inviter à prrrendrrre un verrrrrre, un de ces quatrrres! Je t'aime bien, fils d'Élu!

Aux dernières paroles du Scavenger, le Néorite tourna la tête, puis eut un gloussement subtile. Il tapota doucement l'épaule de son interlocuteur, puis se leva, pour regarder le loup, sans sembler nerveux.

- Monsieur! Vous êtes currrieux de savoirrr qui vient dans vos locaux? Je le surrrveille, parrrole d'Inhumain!

Le loup eut un petit soupir amusé, puis approcha un peu. Sa stature, son maintient, son regard agressif… tout décrivait parfaitement Emanuel Greed, le meneur des Inhumains lui-même. Il s'arrêta donc près de William, doucement, et renifla l'air tout en détaillant le jeune homme du regard.

- Je sais bien, Hirtma, que tu le surveille. Je ne m'attendais pas à avoir la visite d'un Scavenger ici, encore moins le fils d'un homme qui voudrait me mettre en taule. Vous venez pour un contrat, peut-être?

La voix du loup était profonde et rauque. On voyait parfaitement ses longs crocs quand il parlait, immaculés et pointus.

Hans eu un petit rire au commentaire du neorite.

-Bien sure pourquoi pas, mais je sort beaucoup alors s'il y a quelque chose on le prendra sur la route lors d'une sortie si tu veut m'accompagner un jour. sinon tu sais ou me trouver.

Le scavenger se leva devant le loup qui s'approchai de lui de son aire dangereux. il devena nerveux a ses parole.

Il leva la main en signe de respect.

-M. Greed. je ne savais pas que s'etait vous, excuser mes manieres. Pour repondre a votre question, je vien payer les service de Myriam et zolvar.

Quand Will bougait il etais fluide et lent pour mettre le moin de stimulie aggressif possible, il regarda aussi les autre inhumain pour essayer de ressentir leur ressentie.

-Je suis William Hans. Scavenger independant. A votre service

Il inclina la tete en signe de respect pour tous.

Le Néorite, maintenant identifié comme était Hirtma, eut un rire aux paroles du Scavenger. Il n'ajouta rien pour le moment, par contre: son chef était là et il préférait le laisser parler. Il croisa donc ses mains dans son dos et observa attentivement les alentours, avec une certaine nonchalance.

Greed, lui, toisa William du regard. Il sentit l'air, tranquillement, mais attentivement. Tous les sens du loup étaient concentrés sur le jeune homme devant lui, l'examinant sous toute ses coutures. Il semblait deviner la nervosité du fils de Meyers, sans trop de difficulté.

- Myriam et Zolvar… justement, on m'en a glissé un mot. Vous ne l'auriez pas revu, Zolvar, depuis votre expédition, par tout hasard?

Le loup se contenta d'acquiescer à la présentation. Il semblait bien loin du protocole, dans la vie, et ne voyait pas l'intérêt de se présenter. À la question de son chef, par contre, le Néorite sembla se poser des questions.

- ...on ne trrrouve pas Zayne, monsieur? Il doit êtrrre chez lui, non?

Une certaine inquiétude se faisait entendre dans la voix d'Hirtma. Visiblement, le mercenaire était apprécié des siens.

Hans hocha la tete de coter laire interroger par les dire du loup.

-Non, justement je venais ici pour le rencontrer. Je ne les ai pas croiser ni un, ni l'autre.

Will ne posa pas de question, effectivement il devait etre quelque part.

-Je resterai attentif, mais je vais quand meme vous payer aujourd'hui si vous voulez.

Hans croisa les bras d'un aire calme et professionel.

Greed montra les dents un peu. La réponse d'Hans ne lui plaisait pas, mais en même temps, ce n'était pas la faute du Scavenger. Il fit signe au Néorite d'attendre. Probablement qu'il lui en parlerait plus tard, en privé. Pas devant un étranger, du moins.

- Myriam est en chemin. Elle va pouvoir vous aider à régler votre dette. Pour le reste, nous nous organiserons, merci.

Son ton laissait pourtant clairement comprendre un "je ne veux pas de ton aide". L'Altéré loup n'aimait réellement pas tout ce qui se rattachait aux Défenseurs, de près ou de loin.

Justement, Myriam entra dans la pièce, accompagnée de l'Altéré, Kharl, qu'on avait mis sur la tâche de trouver les deux mercenaires. Elle vint directement voir William, tout en sentant l'air de sa langue fourchue. Elle était emmitouflée dans une couverture de laine et semblait un peu… lente. Les serpents avaient le sang froid, et probablement que le froid était justement un vrai calvaire pour elle.

- Monsieur Hans… vous vouliez me voir?

Hans la salua gentilment de son regard doux et chaleureux. Il fallait bien qu'il mette un peut de chaleur dans se froid mordant.

-Oui bien sur, je vien regler ma dette envers vous ma chere. je venait discuter des tarif de notre derniere escapade hors de la citer. Jespere que je ne vous ai pas derenger pour rien.

Il se mit la main dans le cou en signe de malaise. Il fesait plus chaud qu'a l'exterieur mais le froid restait impregner dans la chair et les os.

-Venez proche du feu avec moi je vous prit, nous y seront plus comfortable.

Le scavengeur s'approcha du feu avec Myriam pour qu'elle puisse se rechauffer un peut. Lui aussi d'ailleur.

-Vous vous accomoder du froid j'espere.

Dit-il d'un aire inquiet pour elle, il ne voulais surtout pas qu'elle tombe malade ou pire.

Myriam le regarda et acquiesça doucement. Elle semblait engourdie, la pauvre, mais elle suivait tout de même le fil de la conversation. Elle le suivit donc près du feu et sembla très satisfaite de la chaleur qui l'envahissait. Sa difficulté était toute visible.

- ...les tarifs… parlons de ça. J'aurais préféré que Zolvar soit là, mais on ne le trouve nulle part…

L'Altérée eut un soupir. Elle qui appréciait beaucoup le Mutalythe, son absence la pesait visiblement.

- ...je vais m'en sortir. Je suis en arrêt de travail jusqu'à ce que les températures soient plus chaudes… Donc… Pour une sortie à l'extérieur, habituellement, c'est 200 Gelds par mercenaire. Un total de 400 ici…

Greed continua de les observer de loin, de son côté, mais parlait maintenant tout bas avec le Néorite. Tous les yeux étaient encore braqués sur William, qu'on surveillait avec un peu moins d'agressivité, maintenant.

Hans se rapprocha de Myriam pour lui mette les main sur les epaule par dessus la couverture, il voulais la rechauffer un peut pauvre elle.

-Laisse moi t'aider un peu. Je suis sure que zolvar reviendra vite.

Dit-il plein de compassion dans sa voix douce et calme.

Il frotta les epaule de lalterer serpent pour lui donner de sa chaleur.

-Je vais pouvoir te donner sa, sa ne sera pas un probleme.

Hans la lacha apres quelque minute et deposa les gelds sur le comptoir de la salle.(600) un petit pourboire ne serait pas de trop.

-Bien vue que j'en ai terminer et bien je crois que je vais repartir d'ou je vien.

Dit-il d'un aire narquois, il aimait bien faire son amuseur et defois son fendant.

-Si vous avez besoin d'un scavenger, vous pourrez me contacter. Bien belle journee a vous tous.

Hans regarda le neorite au nom de Hirtma en lui fesant un clin d'oeil.

-Si tu veut prendre un verre un jour on ira a la truffe!!!

Hans remis son manteau apres les au revoir s'il y en avais et repartit combattre le froid jusqu'a ses occupation habbituel.

Myriam se contenta d'acquiescer, encore, et de s'approcher un peu également. La chaleur que lui donnait William lui faisait visiblement du bien. Elle se laissait envelopper et réchauffer, sans broncher. Une fois qu'il s'éloigna, elle le suivit lâchement, sans échapper un bâillement au passage.

- ...merci. Soyez prudent, monsieur Hans. Et si vous voyez Zolvar… dites-lui qu'on le cherche. Bonne journée.

La demoiselle au comptoir avait pris l'argent, bien sûr. Dès que le Scavenger quitta, elle donna sa part à l'Altérée serpent et rangea le reste pour Zolar, quand il reviendrait. Hirtma, lui, le salua simplement d'un signe de la main, sans le quitter des yeux.

L'extérieur accueillit William avec froideur, mais pas autant que les locaux des Inhumains. Toutes ces confrontations avec les Puristes minaient vraiment les relations entre Humains et Non-humains, c'était un fait...