À la recherche de la mignone petite créature

Vanille avait franchit la porte du mur. Non seulement, avant même d'avoir avancée plus, elle ce recula, le dos au mur , regardant le grand étendu devant elle.

-Hummm à plus y penser ... je crois que je vais longer le mur pour cette première fois ....

Le regard incertain de la jeune femme laissait paraître en même temps , un inconfort. Elle s'assura d'avoir toujours la main sur le mur ou bien a maximum un mètre du mur. Livre en main , son éternel sac a sa taille enfin a sa taille plus dans son dos, elle regardait le sol et le livre en même temps , regardant de temps à autre l'étendu dans les environs de sa périphérie de vision.

- J'aurais peut-être du apporter des fruits ou des biscuits ... la nourriture les attires ? Voyons .

Continuant à marcher, évitant les rochers et crevasses comme si elle les voyait au travers de son livre.

-Elles sont très utile pour mettre la main sur des petits fruits comestibles ... zut. Elles aiment les bananes ?

Regardant a nouveau la vaste étendu devant elle.

À l'extérieur des murs, faits de métal et de pierre, un peu comme des remparts, le calme était reposant. Inquiétant également, pour les jeunes femmes seules. Le soleil laissait ses rayons passer entre les branches d'arbres très grands et au tronc massif. Un bon 5 mètres avait été dégagé près des murs, pour avoir une certaine visibilité. Quelques pousses subsistaient toujours, par contre, signe que la nature gagne toujours.

On entendait le chant de quelques insectes, qui rappelaient quelques instruments à cordes, aux sonorités un peu plus exotiques. Le vent était un peu frais, chose normale en ce jour de novembre, mais la température était agréable.

Au premier coup d'oeil, on ne voyait rien des petites créatures produisant ces chants. Elles tapissaient dans la forêt, devant la jeune femme. Dans tous les cas, rester dans l'espace découvert entre les murs et la forêt la laissait visible pour un Défenseur qui aurait pu être en poste.

-Les arbres sont énorme ... mais ...

Hésitante , la jeune fille regardait le mur et les arbres , et le mur, et les arbres puis , ce laissa tomber assise en indienne au sol, replaçant une mèche rebelle de sa chevelure blanche argenté derrière son oreille pointue.

- Je suis pas avancée et j'oserai jamais m'aventurer dans la foret seule.

Baissant les yeux sur une de ses pouce d'arbre a ses pieds , elle cajola les petites feuille d'un doigt en souriant

-C'est fascinant quand même la nature.

Calme... tout était calme... même les quelques recrues sous les ordres d'Ainarik se tenaient à carreaux. Il était là... debout, le vent caressait ses cheveux, tapotant le mur avec l’énorme gantelet de son armure lourde comme si il voulait attirer les ennuis pour se défouler un peu.
Soudain une jeune femme débarqua dans son champs de vision... elle avait l'air de venir de l’intérieur vu son entrée et son air un peu inquiet à s’éloigner du mur. Le soldat Sykes tourna sa tête immédiatement à gauche, se demandant pourquoi son collègue ne l'avait pas vu venir ?

M'enfin tu ronfles encore toi ?! Comment t'as pu la rater ?!

Puis s'adressant à Vanille en criant pour qu'il puisse l'entendre

Hééééé hoooooo ! Toi là bas ? Tu fais quoi à l’extérieur ??!! Comment t'es passée ?

Ainarik regarda la petite citoyenne d'un air plus surprit qu'en colère... enfin il y avait de l'action ! Du moins une promesse d'action.

Le silence, toujours, répondait au monologue de la jeune femme. Le vent continuerait de souffler, qu'elle sente le courage la prendre ou non. Puis, la voix du Guérillas se fit entendre, accompagnée rapidement par les excuses maladroites de son collègue.

- Pardon m'sieu, ça se reproduira plus!

Le reste du problème appartenait au soldat Sykes, maintenant. Et à la demoiselle, maintenant repérée.

-HIIIIIIIII!

Son livre dans ses mains revola dans les air , elle ce relevant en sursaut , cherchant partout devant elle d'ou venait la voix , le livre atterrissant sur sa tête au passage

-Aie

Frottant la tête avec sa main , regardant encore partout , cherchant en même temps de tenter de dissiper la douleur du vilain livre matraqueur.

Admirant le spectacle de l'empotée et mettant, de fait, de coté toutes menaces de sa part... Ainarik continua de crier, accompagnant ses paroles de grands signes.

Hhééééé hooooo je suis la haut, sur le mur !!

Le défenseur se rend compte que la jeune femme prête un peu moins attention à lui et plus à se soigner du mauvais coup de l'affreux bouquin...

Bon... se tournant vers le soldat le plus proche. Je vais sur le terrain soldat, engagez le protocole, restez alerte sur toute menace arrivant vers nous. Et bien en alerte cette fois !!!

Ainarik saute alors du haut de son perchoir, active ses retro propulseur pour amortir sa chute mais fait trembler un peu la terre à son point de chute...
A genoux, il se relève lentement et arrive près de la jeune femme et lui demande plus posement et clairement...

Alors demoiselle ? Qu'est ce que vous faite là ? Une promenade ?

Il remarque alors assez vite les singularités de l'altérée, mais n'affiche pas de changement d'attitude.

Le soldat acquiesça d'un mouvement de tête, dégaina son arme et garda un oeil attentif à son confrère, du haut du mur. Il allait au moins les couvrir.

En bas, rien ne troubla la rencontre, pendant un bon instant. Par contre, le silence fut rapidement brisé par un genre de bruit étrange, comme une plainte presqu'humaine, suivie rapidement par un rugissement mauvais. Ce devait être à 800 mètres d'eux, dans la forêt, caché par les arbres.

Levant la tête , cachant ses yeux de la lumière du soleil fort en cette belle journée, plissant les yeux. Toujours frottant sa tête, elle regarda ce qui lui avait crier après. Ahurit , elle regarda le tas de muscle et de ferraille atterrir au sol , ce reculant , trébuchant sur une roche qui dépassait derrière elle, finissant sur les fesses mais ayant sauver la pousse d'arbre. Son manteau qui lui arriva a la mi cuisse avait épargné de justesse la petite plante.

Les yeux grand ouvert , la bouche un peu entre-ouverte enfin ... plus a la manière d'un poisson. Le rouge lui montant assez facilement au joue et la pointe de ses oreilles, vue le teint pâle de la jeune femme.

-je .... je ...

Les oreilles pointues de la jeune femme bougèrent quelque peu. Elle tourna la tête vers la foret , en direction que le bruit venait.

-Pourquoi sa arrive sur moi encore ....

Reculant contre le mur.

-Conclusion monsieur .... est que je voulais une jolie creature mais que ... c'est pasca que nous allons peut-eter voir si on deguerpi pas tout de suite ... et la porte etait ouverte, ont a le droit de sortir quand meme ... juste pas quiter longtemps et loins sans permission ....

Longeant le mur au plus rapide qu'elle pouvait et partant vers l'entrée la plus proche , qui etait quand meme rendu loin pour ses petites jambes et son 1m55

A sa grande surprise, il failli sourire devant la jeune femme un peu maladroite. Mais ce prodige fut couper net par le cri venant de la forêt tout de suite suivit du rugissement...

Quelqu'un a besoin d'aide ?

Coupant nette les explications de la jeune femme, le soldat, l'air soucieux questionna la jeune femme.

Vous étiez accompagnée ? c'est une amie à vous qui vient de crier ?

Ainarik n'attendait qu'une réponse, un signe de tête pour déclencher le protocole de sauvetage.

- Vous m'avez regarder ? vous croyez vraiment que j'ai des amies ? Et je peux vous affiremer que ce cri etait pas humain .... enfin presque pas .... et ci ... ci c'était l'une de ses mignone créature en danger ....

Elle s'arreta de marcher ... regardant en provenance du cri , ce mordant la levre inférieure , anxieuse ... piétinant d'un pied sur l,autre.

- Est si justement c'était une personne en détresse ....

Elle tendit l'oreille pour mieux écouter. Apres tout , être altérer avait quand même ses côtés pratique. Ces oreilles etait fait plus bien mieux entendre quand même.

Quelques autres rugissements se firent entendre, au nombre de trois. Un coup de feu le suivit de près. Puis, un silence inquiétant.

Le Défenseur sur les remparts semblait nerveux.

- On fait quoi m'sieu?

Ainarik n'allait pas rester les bras croisés devant l'altérée qui se torturait l'esprit...
Il regarda vers le haut du mur... avant que le coup de feu mette en marche la machine Sykes.

Ok les gars, quelqu'un essaye apparemment de se protéger contre la faune... protocole de sauvetage, on va voir ce qu'il se passe et essayer de repêcher l'civil.
Deux avec moi, les autres vous couvrez notre retour.

Puis se tournant vers la demoiselle.

Vous... vous venez avec nous ? Vous avez l’ouïe fine et j'ai pas d'Homme dans l'coin connaissant l'animaux d'au delà du mur, ça peut être utile... mais si vous avez trop la frousse libre à vous d'retourner à l'intérieur.

Ainarik et sa patrouille se retrouvèrent vite à courir en direction des rugissements... laissant Vanille faire son choix.

Elle n'attendit même pas et au coup de feu , elle prit la direction de la foret.

-Je ne peux pas laisser une personne en danger ... c'est contre tout mes principes , aller , plus vite ....

Elle pressa le pas et évitant les obstacle agilement

-Je suis apprentis médecin enfin ... je suis infirmière senior avancé. Voila quelque année j'étais dans les avant post des défenseure comme a l’hôpital ... mais trêve de bavardage ... je ne peux pas laisser plus de temps a cette personne ... surement un scavengeur , en danger de mort ...

Les soldats obéirent aux ordres d'Ainarik, qu'ils savaient un bon meneur, et firent tout parfaitement. L'un eut un soupir soulagé en apprenant que la demoiselle Altérée était dans les soins. Les autres, eux, restaient silencieux.

Les bruits, dans la forêt, s'étaient tut. Plus le groupe de l'État avançait, par contre, et plus la scène était visible. Vanille, avec son ouïe fine, pouvait entendre des halètements sévères.

Maintenant devant leurs yeux se présentèrent arbres marqués par les griffes et les piques. Un sang rouge, épais, rejoignait le déchiqueteur osseux qui gisait au milieu du petit éclairci, entre les arbres. Encore dans la gueule de la bête, un morceau était coincé, ressemblant à un bras. Des bruissement, sur la gauche de la bête, étaient perceptible, comme quelqu'un qui se traînerait sur le sol, difficilement. Les halètement, difficiles, provenaient de la même direction. Un sang, étrangement bleu, marquait le sol.

Ainarik n'était pas ravi de voir le déchiqueteur osseux... il savait par bon nombres d'histoires de taverne de scavengers qu'ils se déplacent par deux... et il n'y avait qu'un corps au sol...

Tous sens en éveil les gars... il y en a un autre dans l'coin... le premier qui le voit, je lui efface son ardoise de la truffe noire.

Laissant ses collègues définir un périmètre de sécurité. Ainarik alla s'assurer que le déchiqueteur à terre est bien mort, voir comment il a été tué et ce qu'il a dans la gueule... ce qui visiblement n'est qu'un morceau, dont le reste c'est enfuit ailleurs. Il sorti le bras et le tassa dans un réceptacle cryo.

Il regarda l’infirmière un moment avant de suivre la trace du sang bleu...

Ce figeant devant le spectacle horrible , elle chercha avidement le ou la blesser ... cette couleur de sang ... ce n,était pas normal mais ... c,était quand même du "sang" signe qu'une personne ou créature dans le besoin avait besoin d'elle.

Vanille n'était sotte quand même , elle laissa les défenseure faire leur travaille avant de ce jeter bêtement dans les dents du déchiqueteur. Trop souvent elle avait lut et entendu et vue a l’hôpital ce qui ce passait quand cette créature attaquait .

Puis, regardant elle s'approcha du halètement et de la victime par le fait même, s'attendant au pire, sont instinct de soigneur a l’affût.

Les autres Défenseurs, tout aussi au courant de l'habitudes de ces horribles créatures, se placèrent de manière à surveiller la scène. Un qui n'était pas sur les murs depuis longtemps toussa, retenant manifestement un haut le coeur.

Le bras que Sykes ramassa d'entre les crocs du déchiqueteur présentait quelques détails étranges, dont deux pouces sur une main de quatre doigts. Pouce, doigt, doigt et pouce encore.

Tous deux se dirigèrent en suivant le sang bleu au sol. Quelques mètres furent franchis, puis ils découvrirent finalement le blessé. Il portait une combinaison très moulante, mais déchirée. La peau, dessous, était d'un bleu poudre. La pauvre chose avait un bras en moins, et souffrait visiblement de plusieurs blessures profondes. Un système respiratoire cachait son cou et le bas de son visage. Ses yeux, eux, étaient dissimulés derrière une viseur craquelé. Voyant le Défenseur et la futur médecin, il recula rapidement, lâchant un genre de chant affolé. Il se traînait sur le sol, misérablement, essayant de se saisir d'une arme aux courbes élégantes, derrière lui.

Pas le temps de comprendre le pourquoi du comment, voyant le miséreux prendre peur et se traînant vers son arme. Ainarik fonça vers le but de l'étrange humanoïde pour s'en emparer avant lui.

Hé là, hé là... t'es pas en état de jouer avec ça toi...

Puis regardant l’infirmière.

C'est votre jour de gloire docteur... vous devez le soigner là ou vous pensez qu'on peut l'emmener ? Vaut mieux pas trop traîner dans l'coin, v'savez. Il doit pas avoir d'autre arme sur lui vu comment il se débattait pour avoir celle ci...

Ainarik regarda avec un peu plus d'attention l'arme mystérieuse...

Elle ramena son sac de taille à l'avant et farfouilla dedans. Et en ressortie une seringue et une fiole d'une couleur bleu ... que de hasard pour cette couleur aujourd'hui .... Regardant quand même toujours pour être sur de ne pas se faire attaquer par une autre créature dissimuler au cas où, les oreilles à l'affut, prenant une grande respiration, elle avança de quelque pas

-Calme, aide. Pas monstre, soins.

Elle avait les mains bien visibles pour que la créature voit tous les mouvements qu'elle faisait. Une attitude calme et souriante assurément pour la chose bleue qui souffrait au sol.

- Les premier soins seront donner ici mais le reste ... je crois que l'avant poste de l'entrée de l'état la plus proche sera la place la plus adapter pour le soigné. Pour le moment , tranquilliser et couper la douleur et arrêter le saignement.

Le Défenseur pu s'emparer sans problèmes de l'arme de l'humanoïde, qui n'était pas assez rapide et trop affaibli pour l'atteindre en premier. Son corps eut même un spasme, et il toussa, son respirateur de cou de mettant à dégouliner de bleu.

Voyant la jeune Altérée s'approcher, il recula de nouveau, se retrouvant acculé à un arbre, observant Vanille avec une certaine peur. Sans avertir, il lâcha un genre de cri, toujours dans un chant étrange, semblant appeler. Une odeur immonde se dégagea alors de l'humanoïde, causant des nausées aux gens qui n'avaient rien pour filtrer l'air.

La recrue du groupe de Guérillas, dans cette situation, se mit justement à recracher sa collation, d'un mouvement trop rapide pour le laisser enlever son casque en premier. Un autre eut un rire, visiblement amusé.

- R.A.S. On devrait faire vite, m'sieu. À crier comme votre blessé le fait, l'autre tardera pas à venger son pote mort.

Un regard vers l’infirmière pour la presser un peu... le soldat sorti un rouleau adhésif de son attirail pour bâillonner le patient. Puis le pris dans ses bras lassant toujours la jeune altérée faire son travail.

- Parfait les gars, on s'assure que notre doctoresse de choc fasse des miracles et on ramène sain et sauf la bleusaille... en regardant l’humanoïde à l'infirmerie.

Le groupe n’attendit plus qu'un signe de vanille et fonça en retraite vers l'avant poste.

N'y plus n'y moins, d'un mouvement vif, elle inséra la seringue dans l'épaule de la créature.

-Doucement, la la, ça va aller dans quelque secondes

Le vaccin était quand même efficace, et rapide d’agissement, rendant gaga et calmant par le fait même.
S'empressant de faire une compresse sur le bras manquant faisant un examen rapide sur le corps de la créature pour voir toute autre blessure à bander rapidement pour le transport.

-laissez-moi 3 minutes 25 secondes et nous partons d'ici ....

L'humanoïde s'agita, autant à se faire mettre du ruban sur le visage qu'à se faire prendre, mais la première réaction ne sembla pas le faire taire. Il lâchait toujours son genre de chant, qui semblait se faire insistant, voir suppliant. Sous l'injection, par contre, et suite à quelque minutes, il se ramollie dans les bras de Sykes, sa forte respiration faisant toujours s'extirper un peu de sang bleu de son respirateur.

En examinant les blessures, Vanille pu remarquer, sur l'abdomen, un endroit où l'on voyait nettement des os. Les humains, et même les Altérés, n'en avaient pas à ce niveau. Le sang bleu était un peu plus liquide, les tissus musculeux eux-aussi dans une teinte de bleu étrange. Sur la peau, on pouvait voir quelques dessins, dans des fines lignes d'un jaune terne. Finalement, les os semblaient plus condensés. L'absence de bras le démontrait très bien.

L'arme qu'avait amassé Ainarik fit un petit "clic", en même temps que les dessins se mirent à briller sur la créature, mais sans plus.

- Tout le monde, on couvre la doc! On resserre les rangs!

Les Défenseurs se rapprochèrent des deux autres, pour former une protection entre eux et le reste du monde.

Ainarik pu entendre l'arme de la créature faire "clic" alors qu'elle était ranger à la verticale dans le dos du soldat.
Son expérience des engins explosif lui aurait imposer d’instinct de balancer l'arme au loin mais ses bras étaient occupés à soutenir le corps de l’humanoïde.

Le soldat regardait la doc faire, tout en restant alerte à l’environnement. Il n'attendait plus que le signal de vanille pour ordonner la retraite.