(Terminé) (ouvert a tous)

En sortant du secteur scientifique (génétique), je marche tranquillement vers le centre de la ville, peu habitué de me déplacer avec un queue. C'est un peux difficile, surtout quand elle mesure 1m et demi de long. Vraiment pas facile de  la contrôler dans les début. Elle s'accroche partout. De plus, je sens des odeurs que je ne suis pas habituer de sentir, grâce a mon odorat puissant. En marchant, mon visage exprime une émotion d'inconfort, causée pars ma nouvelle condition physique. Arrivé au centre ville, je prend le temps de m’asseoir sur un banc où il n'y a personne d'assis.

Et la je pousse un soupire et je dit a basse vois

- Ques-que je pourrais bien faire maintenant?

Et je regarde le monde qui m'entour d'un air pensif.

Tranquillement, il marchait sur la place publique. Les contrats s'étaient fait rares dernièrement, et son dernier ne lui avait pas emmené tout ce dont il avait de besoin. Aider des agriculteurs lui faisait plaisir, mais ce n'était pas là l'action qu'il recherchait. Se battre avec une houe était très différent que de se battre avec son arme. N'empêche, ça avait été payant. Tous n'avaient pas la chance d'avoir des assignations plus excitantes, surtout pas un membre des Inhumains. On les prenait souvent pour des sauvages, à cause de leur guerre ouverte avec les Puristes. C'est ce que l'agriculteur lui avait dit.

Plongé dans ses pensées, il remarqua rapidement l'Altéré qui semblait inconfortable. Quelque chose chez lui pointait au nouveau, sans vraiment savoir pourquoi. Peut-être cette manière de ne pas avoir l'air d'être le bienvenu dans son propre corps? Beaucoup d'Altéré qu'il connaissait vivaient la même chose. Avaient le même visage préoccupé.

S'approchant donc d'Arno, il se racla la gorge, voulant faire savoir sa présence sans pour autant l'incommoder. De son côté, il portait tout son attirail, sauf son arme, qu'il avait laissé à la maison. Les Gardiens faisaient de l'urticaire quand ils voyaient un mercenaire armé.

- Vous allez bien? Vous me semblez... perdu. Si je puis dire.

Il avait une voix douce, qui lui venait du ventre. Une voix de conteur, comme lui disait sa mère, qui sait capter l'attention et se fait enveloppante quand on l'écoute.

Arno était perdu dans ses pensées. Tout à coup, il entendit cette voix, venue de nulle-part, qui brisait son moment de solitude et le faisait sursauter. Par la suite, sans en avoir le contrôle, il endommagea le banc de bois sur lequel il était assis, avec son nouveau membre, qu'il n'arrivait pas à contrôler totalement. Il brisait la partie supérieure du banc. Du coups, il tomba du banc sur le dos!

-eeeeh oui effectivement !

d'une voix gênée.

Le sursaut de l'Altéré le laissa de glace. Aucun sursaut, aucun mouvement vers l'avant pour le rattraper, rien. Plutôt, il pencha doucement la tête sur le côté, puis lui tendit finalement une main, pour l'aider à se remettre debout.

- Pardonnez-moi, je ne voulais pas vous faire sursauter. Vous ne vous êtes pas blessé, j'espère?

Toujours main tendue, il attendait que le lézard accepte son aide. Visiblement, il avait de la difficulté à contrôler quelques réflexes. Ça l'inquiéta, se disant qu'il ferait une proie facile pour un quelconque puriste en manque d'action.

Il accepta l'aide du chers gentil monsieur .

- Merci. Je ne me croyais pas rendu aussi fort.

D'un ton surpris par lui-même!

-En passant, moi c'est Arno Delachaine. Et vous?

Sans vraiment d'efforts, le mercenaire aida l'autre non-humain à se remettre debout. Ses paroles ne firent que confirmer ses doutes: l'Altéré ne l'était pas depuis longtemps.

Reprenant sa main, il se redressa un peu, pour croiser les bras, continuant son observation silencieuse du lézard devant lui. Ses instincts lui criaient de l'aider, mais en même temps, il ne voyait pas l'intérêt de ne pas laisser son interlocuteur se développer lui-même. Il eut un soupir; deux de ses quatre personnalités voulaient l'aider. L'autre avait davantage l'envie de le repousser au sol, pour voir s'il tomberait de nouveau, et d'une autre manière.

- Zolvar. Enchanté. N'êtes-vous pas au courant des plusieurs attentats Puristes contre des non-humains?

Toujours, il gardait un ton neutre. C'était naturel chez lui, comme chez tous les membres de sa race.

-enchanté!

La Question que lui possa Zolvar eu un n'éffect émidiatement sur Arno .Le lezzard lui dit sur un ton
sérieux .

- De quelle nature sont les attentats ,et il ya t-il eu des innocent blaissé ouais pis mort si oui combien et ou que sa c'est passer !
avec un ton de tristest et de colere en meme temps en fin de phrase

La réaction quelque peu explosive d'Arno le laissa encore de glace. La question n'était pas de savoir où les attaques s'étaient produites, mais plutôt d'empêcher qu'une autre n'arrive, avec le nouvel Altéré comme cible.

- Plusieurs. Je ne suis pas nécessairement au courant du "où", ni du "combien". Par contre, les cibles sont des non-humains. Comme moi. Comme vous.

Il se tut quelques instants, espérant que le message passe bien. Que le lézard comprenne qu'il pourrait être en danger.

- Vous semblez perdu. Vous êtes un nouvel Altéré, j'en suis convaincu. Je ne serai pas le seul à remarquer ce détail. Vous devriez faire attention.

Un autre soupir lui échappa. Encore, l'une de ses personnalité voulait laisser le pauvre bougre à son sort. Le regarder brûler. Lui cachait bien son statut de non-humain, pour des raisons qui ne regardaient personnes, sauf lui-même. Et ses autres lui. Bref...

Tout à coup, Arno compris la situation et lui dit en souriant.
- Si nous allions discuter dans un lieux un peux plus priver, comme au bars dans un petit coin avec quelque chose à mange et une bonne bière?

Tout d'un coup, Zolvar remarqua dans les yeux d'Arno; il n'avais plus l'aire d"être perdu.  Comme s'il avait changé spontanément, s'il allait mieux et que son moral était revenue et qu'il avait quelque chose derrière la tête

Arno partie sur un pas décidé et dit :

- Aller Zolvar on n' a pas de temps à perdre, si tu veux bien-sûr !

Le mutalythe resta immobile quelques instants. Les autres races étaient compliqué à comprendre. Pourquoi un tel changement d'attitude, encore? Mystère. Pesant le pour et le contre quelques instants, il finit par emboîter le pas au lézard, surveillant sa queue attentivement. Il ne voulait pas se retrouver au sol pour une stupidité.

- Je ne vois rien de mal au fait d'aller parler ailleurs.

Pour ce qui était du reste, il l'ignorais, par contre. Il parlait beaucoup aujourd'hui. Il était en partie fier d'autant s'exprimer, en même temps que de ressentir le besoin de retourner dans le silence.

Tout-a coup arno arrete de marcher comme s'il venais de voir une vielle connaissence et dit :

-Attend moi 5 min je doit aller voir quelq'un vite vite !


Arno partie en direction de la personne qui venais de voir .Et et puis apres plusieur minute , il se retourne vers Zolvar et lui fait signe qu'il étais prest a repartir.Et il se dérige vers la taverne la truffle noir .

(hors rp faut-il changer d'endroit )

Le mutalyhte s'immobilisa, pour fixer Arno qui partait, comme ça. Vraiment? Ça lui semblait impolis, mais il ne s'en plaindrait pas. De toute manière, ils venaient de se rencontrer. Ce n'était pas une raison pour lui faire un affront, mais... Il eut un soupir, secoua doucement la tête et attendit donc.

Quand Arno revint, il se remit en marche, lentement, d'une démarche lourde mais silencieuse. Il commençait à se sentir las, engourdis. Mais encore là, ce n'était pas apparant.

(J'ai demandé au dm et il dit que c'est pour nous. Alors je te laisse choisir!)