equipement revue

Hans marcha paisiblement dans les rue marchande une main cacher dans son menteauet lautre dans la poche. il vu la boutique quil recherchait. il entra donc dans la boutique de Naomi la meilleur en cybernetique.

-Bonjour Naomi. Jespere que tu n'est pas trop occuper se matin.

Hans fit le tour des stock, il fallait quil demande une revision de son oeil et linstallation dune main droite apres son accident. l'hiver aura ete dure, mais lete lui vien plein d'espouoire, sa fait maintenant 2 semaine quil est sortit de l'Hopital. il etait temps. il sortirait des mur a nouveau bientot alors vaut mieux s'equiper en consequance.

-Bon toi tu a surement se que je cherche, dit il a voix basse.

Hans aurai besoin de nouvelle piece pour construire un grappin lui meme.

donc du fil solide, un crochet, un rouleau a main pour lentourer(le fil) et un manche pour tous connecter sa,mais ca sa sera peut etre ailleur.

le scavenger blesser tomba dans la lune le temps que la demoiselle vienne le servir.

La boutique était vide de client. Personne ne s'y trouvait, seulement Naomie et son accompagnateur cyborg. Celui-ci était justement entrain d'aiguiser une arme, qui lui sortait du coude, sans vraiment d'entrain mais avec une attention toute particulière. LEs deux paires d'yeux se fixèrent sur William, et la demoiselle se pencha sur son comptoir, tout sourire.

- Et bah! Du tout! Qu'est-ce qui t'emmène, hum? Explique moi ça, mon choux.

LE cyborg écoutait maintenant attentivement, lui aussi, sans pour autant fixer le Scavenger du regard. Il était tout de même là pour aider Naomie, alors il devait rester aux aguets, non? La tenancière continuait de sourire, elle, curieuse de ce qu'Hans pourrait bien lui demander, surtout s'il se sentait obligé de baisser la voix.

Hans lui fit son plus beau sourire, Naomi l'avait deja aider dans le passer et si ce n'etait d'elle il serait aveugle d'un oeil.

-Et bien ma chere! Lors d'une sortit a l'exterieur des murs et bien je me suis fais attaquer par une petite meute de traqueur sanglant. bien inoffancif dira t'on. mais hors de mon controle je me suis retrouver sur le dos.

il soupira en regardant sa main droite perdue. un brain de desespoire. un autre accident insencer.

-Mon equipe a put m'extirper et eloigner les autres, mais il m'en a fallu de peut. J'ai sacrifier ma main pour survivre. C'est pitoyable. Tu peut me donner un coups de main.

Il reprit son sourire et dit son jeu de mot en levant la main, esperant malgrer la situation faire rire la vendeuse. lui du moins la trouvais drole.

Son oeil cybernetique regardait partout ou il pouvait aller. il etait curieux de voir son materiel. Mais Naomi pourrai facilement savoir qu'il aurait besoin d'une mise au point.

(tu me fera un topo de comment sa fonctionne dans les boutique en general)

La technicienne l'écouta attentivement tout le long, puis fronça les sourcils à la vue de sa main manquante. Elle semblait ne manquer aucun détail, par contre: c'était une professionnelle, une perfectionniste, et William le savait bien. Il pouvait également savoir que son accompagnateur, le cyborg, était toujours avec elle. Rien d'inhabituel, en somme.

- Une main… je vais pouvoir te la construire, mais pas te la poser. Tu le sais, ça. Tu feras gaffe, par contre: plus que tu as de morceaux de remplacés par la cybernétique, et plus tu deviens une cible des foutus Puristes.

La jeune femme eut un soupir, puis observa William attentivement. Elle semblait trouver quelque chose d'étrange, dans son comportement.

- Commence par enlever tes lunettes aussi. Je veux voir ton œil. Ah, et tu vas devoir me dire comment tu la veux, ta main. Plus c'est compliqué, et plus ça va prendre de temps. Ok?

Le cyborg à côté de la marchande eut un petit rire. Il était assez subtile, mais l'entreprenariat de sa patronne l'amusait au plus haut point, aujourd'hui.

Will eu un petit rire amuser de la replique et bon son compagnon aussi donc il suivait le mood de la conversation.

-D'accord, d'accord, ne me regarde pas comme sa.
dit il de son sourire legendaire.

Il enleva ensuite ses lunette et s'approcha de Naomi.

-Pour la main c bien simple et complexe. J'aimerai des petit outils facile a transporter dans la main comme un petit couteau, un tournevis, une petite pince qui peut couper. et un silex pour le feu.

Hans regarda les yeux de son interlocutrice.

-Tu a de beau yeux toi se matin.
Dit-il flatteur.

-Pour l'oeil tu peut changer un truc? Tu a des chose 'Special' a offrir quelque chose d'unique?

La jeune femme lui fit une grimace, taquine et douce à la fois. Elle avait tout un caractère, et c'était connu de tous. Tout en écoutant les demandes de son client, Naomie observa son œil et fronça les sourcils. Elle lui faisait faire des mouvements, pour voir la réactivité de l'implant, et le résultat ne lui plaisait visiblement pas.

- Même si tu me dragues, ça ne fera pas baisser ta facture.

Elle n'ajouta rien, mais eut un petit sourire amusé. À la question, elle réfléchit un peu, puis se recula finalement. Faire des demandes spéciales était compliqué, de temps en temps. Surtout si elles étaient… très complexes. Choses qui seraient très probables aux vues de son client présent.

- Dépend de ce que tu voudrais. le développement peut être long. J'ai les pièces, oui, mais j'ai rien des cybernéticiens du complexe. Donc… tu voudrais quoi? Pour la main… faisable. Ça risque de me prendre une semaine. Environ. Et ça va coûter plus cher qu'un simple ajustement…

Le cyborg eut un autre petit rire et se leva, de son côté, pour aller dans l'Arrière-boutique, cachée au regard des clients.

Hans etait songeur, un moment. il etait tomber dans la lune pour reflechir.

-Dommage, moi qui aimait te flatter. pour la main parfait je peut attendre dans le pire jirai me faire des connection avant linstallation sa te va?

Il reflechissait encore un bon moment. puis son regard se posa sur Naomi.

-Pour l'oeil j'y reflechis et je me demandait si tu etais capable de me donner un systeme pour detecter la chaleur ou la distance d'un point a moi. jai pu trouver un zoom facilement donc va falloir que je change. sinon un truc qui identifie les choses que je regarde.

Hans adossa son bras droit sur le comptoir pour se soutenir un peut.

La vendeuse lui offrit un radieux sourire, à la fois baveux et taquin. Elle continuait d'observer Hans tranquillement, sans se presser. Aux différentes demandes, elle se mit à réfléchir, par contre, à la fois intriguée et décontenancée. William l'avait visiblement pris de court sur celle là.

- Heum… Va te faire faire les connexions en premier, oui. Ils vont te fournir un modèle de base. Sinon, pour l'œil… je peux te mettre le thermal. La distance… moins. Je devrais faire affaire avec les Défenseurs pour ça, avec leur système de visée… et ils poseraient trop de questions. Sinon… l'identification… Hish. Deux options pour celui-là. Non, trois. Première option: tu vas voir Hexus. Je le déconseille. Il a pas l'air dans son assiette dernièrement… Mais il serait capable de te trouver ça. Le vieux fou trouve s'importe quoi. Deuxième option: tu trouves quelqu'un pour me fournir le matériel et l'Argent pour faire une développement de projet. Parce que pour faire ça, c'est pas moins que ça va me prendre. Troisième option: tu fais affaire avec le complexe scientifique directement. Ils ont des cybernéticiens vraiment trop bons. Enzo, Vreyes, Hyrman… j'en passe, mais ces noms-là, c'est ceux avec qui tu veux faire affaire… Donc?

La jeune femme lui offrit un sourire compatissant. Le Scavenger semblait épuisé le pauvre.

Hans se prit la tete un moment. les yeux plein de fatigue la perte de sa main le troublait encore et avec tout les puriste qui font expres de faire chier comme dirait son pere et bien sa compllique les chose.
Il prit un moment pour se recentrer, la douce voix de Naomi l'apaisait un peut au moin.

-D'accord dit moi qu'est-ce qu'il te faut pour un développement de projet et surtout combien, je vais m'arrenger pour te trouver sa.

Hans voulait que se soit lui pour une fois qui defini les regle d'un projet, il voulait demontrer au autre quil avait les moyen d'en faire plus, car il savait qu'un jour sa serait lui qui aurait besoin de cette aide.

Il resta professionnaliste au maximum se petit projet lui mettait chaud au coeur.

La technicienne lui fit un petit sourire doux, compatissant, mais ne prononça pas un mot. Elle laissa tout son temps à Hans de réfléchir un peu, sans le déranger outre mesure. Elle se mit ensuite à réfléchir. De combien aurait-elle de besoin? Elle devait faire un estimé, entre autre… Elle se mit à se masser les tempes. Peut-être qu'elle se lançait dans trop gros pour elle? Elle ne savait pas trop, dans les faits…


- Bon, heum… Pour le développement de projet, je vais devoir demander un permis, en premier, au complexe scientifique, et faire approuver le projet. Déjà là, je sais pas si ça va être accepté et combien ça va coûter. Après, je vais devoir acheter les composantes qui me manquent, les outils qu'il me manque aussi… Vite comme ça, je te dirais que la base, ce serait 800 Gelds.

La jeune femme soupira, découragée par le bilan qui augmentait, encore et toujours. Elle commença même à se grignoter les lèvres, un peu nerveuse et en pleine réflexion. Elle calculait autant ce dont elle aurait de besoin que les possibles coûts, et ça faisait beaucoup pour sa petite tête.

Le cyborg revint de l'arrière boutique, de son côté, avec une tasse d'infusion fumante. Il observa quelques instants la scène, puis se râcla la gorge, dans un son désagréable.

- Pourquoi tu ne lui dis pas d'aller voir Xesh?

Naomie écarquilla les yeux et offrit une claque solide au cyborg, qui sursauta presque violemment et sembla confus devant cette agressivité.

- T'es malade?! Si je lui envoie un client qui est relié de près ou de loin aux Défenseurs, je vais l'entendre!!!

Hans ne compris rien se n'etait pas son genre d'un e telle violence. Il fronca les sourcis.

-C'est qui se Xesh et pourquoi sa serai compliquer je reste un independant je te rappel. Et pour ce qui est du financement...

Hans deposa 2000 Gelds de son sac sur le comptoir de son amie.

-Je crois que sa va suffire pour commencer. tu prendra se qu'il te faut pour la suite et on verra ensuite pour le pourboire.

le scavenger lui fit un clin d'oeil pour detendre l'atmosphere. Il n'aimait pas quand naomie s'enportait sa pouvait devenir violent pour rien.

Naomie mena une main à sa tête, dans une frustration à peine dissimulée. Elle soupira longuement, jeta un regard noir à son compagnon cyborg, puis ramena son regard sur William. Elle ne voulait pas plaisanter, c'était voyant. Son expression démontrait d'un sérieux déroutant.

- C'est un bidouilleur, on va dire… super bon dans ce qu'il fait… mais un tantinet louche. Il a un petit coin quelque part, où il travaille sur les projets qu'on lui donne. C'est un bon gars… mais il est bizarre. Par contre… lui, il serait capable de te faire ce que tu veux. Ça, j'en suis certaine.

La technicienne soupira de nouveau, puis regarda la bourse que venait de déposer Hans. Elle le fixa quelques instants, puis la repoussa doucement.

- Écoute. Informes-toi au complexe en premier, et si personne ne veut faire ton projet, revient me voir, ok? Je mentirai pas: ils risquent de mieux faire le job que moi. Et bon, c'est la satisfaction de mes clients qui m'intéressent en premier, pas les Gelds… Ok?

Elle lui fit un petit sourire désolé, puis jeta un autre regard mauvais au cyborg. Celui-ci eut un soupir et croisa les bras, visiblement agacé.

Hans reprit sa bourse et regarda les deux compagnon un peut decu.

-Alors pourquoi se n'est pas toi qui irai voir ton gars, il tecoutera lui. Sinon donne moi son adresse et jirai moi meme.

Il soupira un bon coup.

-Ecoute naomie, je ne fais pas dans les regle de l'art, je fais aussi des transaction plus ou moin illegal avec hexus, alors sa ca ne me derange pas. Et je sais tres bien que le complexe ne me donnera pas la permision ou va me charger une fortune a cause de mon nom, mais c'est pour toi.

il croisa les bras attendit la reponse de son interlocuteur et lui mentiona qu'il fallait reparer l'oeil avant toute chose.

Naomie secoua doucement la tête, peu enclin à se déplacer de son commerce. Si elle n'était pas là, elle maquerait des clients, comme de rien, et elle ne voulait pas d'une telle éventualité. Elle jeta un œil à son compagnon, qui se leva sans avoir besoin d'une quelconque paroles.

- Venez avec moi. Je vous montre c'est où, et vous vous arrangerez avec le gars ensuite. Ça vous va?

Le cyborg se dirigea vers la porte, tout en rangeant sa lame dans son bras. Il enfila même un manteau long, accroché sur le bord de ladite porte, puis attendit le Scavenger.

Avant qu'il ne sorte, Naomie lui fit signe, un tantinet inquiète.

- Will. Il est gentil, mais bizarre. D'accord? Il n'a jamais fait mal à personne, cela dit… Je préfère te le dire. Ah, et il n'existe pas. Surtout.

Elle fit un sourire encourageant au Scavenger et le regarda. Il était maintenant entre les mains de son compagnon, ce qui ne la stressait pas réellement.

Hans eu un sourire inquiet un instant mais essaya de le cacher, il etait nerveux sa ca paraissait un peut plus. Rencontrer des gens qui n'existe pas, c'etait nouveau.

-Compris, je me tien a carreau.

Il suiva sans rechigner son nouveau compagnon en remettant ses lunettes, il n'aimait pas sortir sans. Il cachait au mieux son oeil mecanique.

Le cyborg le précéda donc dehors, et ils marchèrent, longtemps. Des heures, même. Du secteur marchand, ils se rendirent dans celui industriel, tout près de la base du mur de l'État. Personne ne s'y trouvait et un silence presqu'inquiétant y régnait.

Pendant la route, ils n'avaient croisé que très peu de gens. Les patrouilles habituelles, dont certaines qui saluèrent le Scavenger, quelques passants, mais rien d'autre. Les gens étaient encore un peu craintifs après l'épisode de froid qui s'était abattu sur l'État et encore bien peu de citoyens sortaient de chez eux.

Le duo improbable, dont le cyborg se retrouva à être muet comme une tombe, se retrouva donc au pied du mur. L'Assistant de Naomie observa quelques instants, repéra une fissure dans le mur, fait de pierre dans ce secteur, et l'indiqua à Hans, d'un signe de tête.

- On se sépare ici. Tu entres là et tu suis le chemin. S'il te pose des questions, dis simplement que les Bonnes Voix t'ont guidés. Bonne chance. Oh, il ne mord pas, contrairement à Hexus. Bonne chance.

Le cyborg s'inclina, puis attendit que William entre avant de tourner les talons. Un léger vent soufflait, faisant résonner un sifflement dans la crevasse. William devrait s'y glisser sur le côté, et il y entrerait de justesse. Avoir été plus imposant, il aurait été incapable de passer, sans aucun doute. Là, par contre, c'était une crevasse étroite et sombre qui l'attendait, semblant s'enfoncer dans le sol d'une manière inégale et dangereuse.

Hans remercia son ami cyborg et entra courageusement dans la crevasse.

-Serieusement, Will qu'est ce que tu fou, bordel.

se disait-il anxieux, il s'enfonca dans cette crevasse qui le fit fremir de peur. D'accord il ne mord pas, mais il ne le connaissait pas comparer a hexus qu'il fesait deja affaire a lui pour son materiel.

De son aire courageux, le scavenger se dit a lui meme, c'est moins pire que de sortir des murs. Il arpenta le chemain que le cyborg lui avait mentionner plus tot et esperait arriver bientot.

Hans s'enfonça dans la crevasse, et bientôt, il se retrouva dans le noir total. Le terrain était inégal, en pierre au début, puis en terre et en rochers plus il descendait. Pour descendre, il descendait beaucoup, d'ailleurs. L'air était poussiéreux, la crevasse tantôt étroite, tantôt plus large. C'était un passage périlleux, assez que si le Scavenger se trouvait imprudent ou trop pressé, il allait sans contredit se blesser. D'une petit foulure à carrément se fendre le crâne, l'intensité de la blessure possible variait selon la prudence du jeune téméraire.

Il descendit une bonne demi-heure, dans un chemin toujours aussi inégale et sombre. On y voyait rien sans lumière. L'air était saturé de poussière de roche et de plus en plus sec. Il n'y avait plus aucun son, même pas celui du sifflement du vent, qui n'atteignait plus le voyageur depuis le début de sa descente.

Finalement, il déboucha sur une alcôve plus grande, juste assez haute pour qu'il puisse se tenir debout. Une lumière tressautante était accrochée au plafond, pendante au bout d'un fil grossier, à peine isolé. Un chemin était visible en face, tout aussi étroit, mais deux fois plus haut. Quelques lumières, salies par la poussière, semblaient y être accrochées. Dans tous les cas, un chant synthétique se faisait entendre, quelque part, et se réverbérait sur la pierre. C'était doux, mais le côté synthétique de la voix donnait une sonorité agressive, un peu folle au chantonnement, ce qui donnait une ambiance glauque à l'endroit.

Hans n'aimait pas sa, c'etait dangereux pour rien. Esperant que sa en vallait le coup.
Rendu dans l'alcove il pu enfin se redresser, une bonne chose, son oeil cybernetique commencait a regarder partout frenetiquement, se qui lui donnait mal a la tete.


Le scavenger hésita un instant avant de s'enfoncer un peut plus, mais il le fit.

-Pour la science j'irai jusqu'au bout!

Essaya-t-il de se convaincre. Il continua du mieux qu'il le pouvait. Il restait impressionner par se genre d'endroit. Sa restait ingenieux de vendre ou fabriquer des truc a l'insu des gens ici.

Le Scavenger s'enfonça dans le tunnel suivant, sous les lumières sales, dont l'éclairage diffus était juste suffisant pour qu'on y voit quelque chose. Le chemin était étroit, mais plus applanie, donc plus facile à emprunter. Une certaine odeur métallique se fit sentir dans l'air, accompagnée par une autre de renfermé. La pierre, elle, se faisait un peu plus chaude à chaque pas.

William dut avancer une cinquantaine de mètres avant de finalement déboucher sur une alcôve trois fois la taille d'un homme. Elle était vaste, devant faire dans les 180 mètres de largeur, et encore plus de profondeur. Des tissus lourds, sales, dont on ne distinguait à peine la couleur d'origine, étaient accrochés un peu partout au plafond. Du filage épais et vieux les accompagnaient, en plus de quelques lumières, ce qui donnait un air chargé à l'endroit. Surtout, les tissus faisaient office de murs et bloquaient donc la vue sur certaines zones.

De ce que William pouvaiy voir en ce moment se trouvaient une longue table de bois, qui soutenait des filages et autres composantes, quelques-unes assez étranges. Des filets, accrochés, soutenaient d'autres morceaux électroniques, de chaque côté de la table. Une lumière un peu plus forte éclairait derrière la table, et un imposant rideau, renvoyant d'ailleurs une grande silhouette sur celui-ci.

Le chantonnement était beaucoup plus fort maintenant, de par la proximité du téméraire. Une légère odeur de brûlé se fit sentir, également.

Hans entra dans cette alcove immense, un peut nerveux ne sachant pas se qui se trouva derriere les rideaux epais et sale. Il apercue la silhouette derriere l'un deux. Il cogna deux coups sur la table devant lui pour attirer l'attention sur lui.

Il se racla la gorge pour qu'on puisse l'entendre.

-Eh,Mmmm.

Il attendit main croiser dans le dos, mais pret a se defendre s'il y avait lui. Il n'avait pas l'aire aggressif du moin. son oeil cybernetique regarda partout a la fois, t'en qu'a l'autre, il resta fixer sur la silhouette.

Au son émis par le Scavenger, la voix se tut totalement, et la silhouette se redressa légèrement. On voyait son immobilité derrière le tissu, bien retransmise par l'ombre. La voix se fit de nouveau entendre, dans un son encore glauque. C'était à la fois doux et sauvage, synthétique également. Une voix à en donner des cauchemars.

- Qui s'aventure donc dans mes tréfonds? Quel chant vous a guidé ici? Que votre réponse soit juste, ou que votre présence disparaisse...

La silhouette se mit bien droit, mais ne bougea pas davantage. La personne semblait attendre la réponse avant de se dévoiler, pour le meilleur ou pour le pire. William se retrouva dans ce lourd silence poussérieux, avec la malaisante impression d'être horriblement surveillé.

Hans fissonna legerement au son de son interlocuteur. Il se reprit et dit clairement.

-je me nomme William. Les bonne voix mon guider.

Et se tue jusqua avoir une reponse de son hote. il etait nerveux. On voyais les particule de poussiere dans l'aire avec le peut de lumiere qui emanait de cette endroit.

Esperons que Naomie ne s'etait pas tromper.

La silhouette resta immobile quelques instants, puis silencieuse également. La poussière suivait presque cet élan, immobile elle aussi, comme suspendue dans l'air. Puis, finalement, la personne bougea et avança dans la pièce. Elle sortit de derrière le rideau, et se furent deux yeux bleus brillants qui fixèrent William.

C'était un homme, un cyborg visiblement. Ses yeux étaient cybernétiques, et un genre de respirateur recouvrait le bas de son visage. La peau, sur le haut de son visage, était pâle et légèrement sèche. Sa silhouette, recouverte par un long manteau à capuchon, était grande et élancée. Le tissu était sale mais solide, d'un brun qui se confondait bien dans la pierre. Des épaulettes de cuir couvraient ses épaules, lui donnant un air impérieux malgré tout.

Les yeux bleus étaient fixés sur William, alors qu'une respiration électronique se faisait entendre dans un rythme lent. Un……. Deux……. Un…… Deux…. L'homme l'étudiait visiblement du regard, les mains croisées sur son abdomen, et ne disait pas un mot pour le moment. Il se mit à parler, par contre, doucement, encore de sa voix étrange et malaisante.

- Bien. La réponse est juste. Dites-moi... que puis-je faire pour vous, jeune homme? Peu viennent me voir, et encore moins ont des demandes simples… Vous êtes de l'État… Un Scavenger. Mais aussi autre chose… Hm.

Xesh eut un petit gloussement, calme et concis. Il resta immobile, encore, et attendit d'avoir une réponse de la part du téméraire curieux.

Hans eu un leger malaise en voyant l'homme se dresser devant lui. Il hocha la tete en guise d'acquiescement au titre que l'individue lui donna.

-Je suis William Hans, scavenger independant. et effectivement je vien pour un service un peut particulier. Vous etes Xesh, si je ne me trompe.

Hans avanca d'un pas et lui tendit la main pour serrer la sienne.

-Prenez conscience, monsieur, que je ne suis pas la pour poser probleme, mais belle et bien pour affaire.

Dit-il d'un ton tres professionnel.