The wild hunt (terminé)

Les Orchids lui sourirent et la saluèrent, après une traduction de leur amie. Recevant le cadeau, celle-ci s'inclina à son tour et enfila le collier, heureuse.

- Soyez prudente.

Ils se mirent ensuite en chemin, n'allant pas dans la direction de l'État, mais un peu à côté.

La journée pour la scavenger et sa meute se passa sans accros. À un moment, elle pu trouver une accumulation de plumes d'Harpies Immaculées, qui avaient fait leur nid très haut dans l'arbre au-dessus d'elle. À un autre moment, ce fut plutôt les restes d'un Buffle sauteur, laissé là par le prédateur qui lui avait enlevé la vie. Le seul obstacle qui se présenta à elle fut une énorme plaine, qui laissait voir les arbres sur la lgne d'horison. La nuit commençait à tomber, et elle ne pourrait pas la traverser avant que pa noiceur les enveloppe.

L'altérée profita de la providence du nid pour récupérer plusieurs belles plumes blanches, mais ne s'attarda pas outre mesure pour ne pas s'attirer les furies d'un couple reproducteur en pleine nidification.

Artémis tanta de trouver un endroit peu à découvert pour crécher en cette deuxième nuit hors des murs. Si elle ne trouva pas elle se résolu à usé de sa tente de toile pour faire un apentis. Elle creusa un peu le sol pour faire un feu qui serait moins visible et près de la tente. Le chariot à proximité. Cette fois elle consomma avec ses chiens des rations. La chasse en pleine plaine et de nuit lui paraissait être une très mauvaise idée.

Le court passage de la scavenger ne dérangea pas le couple plumeux, loin dans les airs. Elle put ainsi continuer son chemin sans être la cible de ces énormes oiseaux de proie.

Par chance, elle fut également calable de trouver un endroit avant la plaine pour s'installer. Rien ne viendrait les déranger, certainement pas avec les cris lointains, ressemblant à celui d'un ooseau et d'un rugissement à la fois, caractéristique à la Mort des cieux.

La nuit se passa donc sans dérangement. Au matin, par contre, s'étant rapproché de la chaleur dans leur témérité naturelle, quelques lézards ambrés s'étaient blottis contre les chiens, et même contre l'Altérée. Ils étaient assez subtile pour qu'on ne remaque rien d'eux, sinon leur fuite de groupe au réveil.

Avant de se coucher Artémis tents de calculer la distance à la quel pouvait bien se retrouver la mort des cieux et l'inscrivit sur sa carte. Se serait un lieu à évité et un territoire de chasse probable à documenter au près de Meyers.

Au matin Artémis fut amusé par le départ précipité des reptiles. Elle tenta d'en appâté un simplement pour le plaisir de l'observer et d'en faire un rapide croquis durant son repas matinal.

Profitant de l'aube elle rangea ses affaires attela à nouveau les chiens et monta sur son chariot. Avant de donner le départ elle sortie sa bousole, regarda le levé du soleil et anota quelque note sur sa cartes. Demain au crépuscule elle entrerait probablement dans la zone inconnue qu'elle avait choisi. Les chiens avait le bon côté d'être rapide, endurant et bien moins peureux que des chevaux sans compter qu'il n'était pas des proie, mais des prédateurs naturel. Toute ses qualités permettait à Artémis de faire de plus grande distance seule que la plus part des autres scavenger solitaire. Et de cela elle n'en était pas peu fière.

-USK

S'écria-t-elle ensuite pour intimé le départ à l'attelage. Elle s'assied sur son banc de fortune les pieds bien caller sur le bois pour ne pas tomber.

-inconnue nous voici!

Elle sourit d'extase. Le vent frais de l'aube fouettant son visage et l'allégresse de la vitesse l'emplissait l'euphorie. C'était sa la liberté, la sienne son sentiment profond de vie. Elle mordait dans l'instant comme dans un fruit mûre et sucré, goutant tout ses arômes complexe. L'inconnu ne lui faisait pas peur au contraire c'était un pas de plus vers la liberté, de nouveau défi sur lesquels triompher et démonter que malgré sa nature créé elle était la mieux adaptée!

La Mort des cieux semblait s'être installée au milieu de la plaine, de manière à couvrir tout son territoire de chasse. Au petit matin, on n'entendait plus ses cris, mais les habitudes de vie de la créature restaient inconnues.

Pendant son repas, Artemis réussit à faire se rapprocher un lézard, qui resta assez près pour qu'on le dessine sans difficulté. Ensuite, il prit la poudre d'escampette, rejoignant sa troupe.

Le chemin se passa bien ensuite. La plaine restait à éviter, avec ses lieues de territoire découvert. Le reste de la forêt, à cause de la présence de l'imposant prédateur, était silencieuse. Les bêtes évitaient cet endroit.

Le jour s'écoula lentement. Le soleil commença à se coucher, et Artemis pu sentir l'humidité dans l'air. Le secteur était beaucoup plus humide, et la flore s'en retrouvait changée. Les plantes étaient fournies de larges feuilles. Les arbres étaient lisses, et leur écorce avait une couleur se rapprochant du aqua. Les cimes restaient hautes dans les airs, assez qu'une obscurité étrange règnait dans le coin. Quelques arbres reposaient sur le côté, cassés à la base. Tout était de nouveau silencieux, sinon le ciel qui grondait, signe que la pluie tomberait bientôt.

La mort des cieux qui avait été audible lors de son passage dans la plaine l'avait rendu un peu anxieuse. Cette créature lui faisait réellement peur. C'était bien une des rares créatures connue qui lui faisait appréhender une mauvaise rencontre.

Elle fit ralentir les chiens et reniffla l'air. Voilà une nouvelle terre, et voilà un endroit où il faudra redoublé de prudence se dit Artémis descendant du chariot et décrochant les chiens. Maintenant ils étaient une meute et Artémis poussait elle même le chariot doucement et avec prudence.

L'altérée s'adarda sur les troncs tombe casser à leur base intrigué se demandant si la raison de leur mouvement était naturel ou animalier. Une fois déterminer elle chercha un endroit pour y faire son camp pour la semaine. Une large crevase dans un grand tronc, une grotte entre deux roche, une crevasse dans la terre . Elle espérait trouver une protection naturel plutôt que de devoir passer la journée de demain à construire un semblant de poste dans un arbre haut pour s'assurer la sécurité la nuit.

Artémis et tout ses sens était en alerte. Ici pas question de baisser sa garde. Ici baisser sa garde c'était devenir la proie. Et pas question de devenir la proie. La meute en synergie surveillait l'horizon à 360 degrés du pif, de l'œil et de l'oreille aucun sens n'était mis de côté. La survie en dépendait. Et aucun membre s'éloignant. L'unité la clé de la survie, Artémis avait depuis longtemps travailler cela chez sa meute. Pour ne perdre aucun chien... Et ne pas perdre sa propres vie.

Les troncs brisés l'avaient été à cause d'un animal, sans contredits. Les marques le démontraient bien, et étaient trop bas pour être dû à la foudre. Justement, le tonerre se fit entendre, et l'air sembla se charger d'électricité.

La recherche d'un abris ne fut pas en vain. L'Altérée put en trouver un, sous les racines d'un imposant arbre. Elle pourrait s'y terrer sans problèmes, et probablement même y faire un feu. À peine eut-elle le temps de trouver son abris qu'une pluie dilluvienne se mit à tomber, faisant un boucan dans la forêt.

Elle devrait tenté de trouver la cause de ses troncs abattue. Mais pas aujourd'hui ça c'étais certain. Quand l'orage se fit entendre et la pluie tomber Artémis fut heureuse d'avoir trouver un abris sur. Elle pris la toile de sa tente de fortune et l'installa à l'entré de l'abris naturel tant pour cacher la pluie et le vent que pour gardé la chaleur d'un feu et chassé l'humidité. De plus le fait de cacher l,entré ainsi évitait de laisser voir la luminosité du feu. Comme elle était en terrain inconnue elle préférait jouer de prudence sur se coup la.

À la différence des deux dernier soir elle sortit tout ses effets dont un lit de camp qu'elle installa. Cette endroit serait son camp de base pour le reste de son séjour. Et elle passa une partie de la soiré à l'installer de la sorte.

Elle attendit d'entendre une acalmie avant de sortir pour escaladé l'arbre qui lui offrait le gîte. Elle adorait normalement les orage et la vue des éclaires la fascinait. Elle ne voulait pas raté plus longtemps se spectacle. L'altéré s'assied sur une branche et passa un moment sous la pluie à regarder le ciel se déchaîner.

L'espace sous l'arbre offrait un abris idéal. Même, la terre et les racines absorbaient l'humidité. La cachette était donc sèche.

Avec ses griffes, Artémis réussit à monter en haut de l'arbre pour observer le spectacle. Les éclairs frappaient les quelques cimes plus hautes que les autres, dans un spectacle éblouissant. Dans cette région, étrangement, elles apparaissaient comme des flashs jaunes plutôt que blancs ou bleus. Ça ne les empêchait pas d'illuminer les environs de leur lumière, et faire voir quelques arbres, entre le loin et le près, qui s'agitaient beaucoup comparés aux autres.

Elle s'attarda à regarder le mouvement anormal des arbres. À cette distance même sa bonne vue nocturne ne saurait voir se qui causait toit cela, mais au moins arriverait-elle à savoir si se phénomène s'approchait ou non de sa position.

Était-ce un herbivore particulièrememt volumineux? Ou un prédateur. Intérieurement elle espérait que le premier scénario soit le bon, car à la taille de la bête elle ne pourrait pas faire grand chose si cette chose se trouvais être un carnacier.

Dans tous les cas, la chose n'approcha pas de sa position. Elle continua ses mouvements étranges, faisant bouger les arbres de manière anormale. Une autre éclair s'abattit sur un arbre, et la créature sembla devenir plus énervée. La preuve; un autre tronc se fit rompre, et un arbre s'écroula, disparaissant dans le feuillage. L'orage n'allait pas en se calmant. Les vents devenaient un peu plus violents. Et des rugissements se mêlaient à la colère du ciel.

Artémis se mordit la lèvre inférieure la curiosité lui rongeait les trippes. Mais une part d'elle, la plus pragmatique , intimait à l'altérée de resté ou elle était que ce n'était pas prudent d'approcher et qu'elle ne pourrait pas apporter les chiens. Laisser la.meute c'etait se mettre à découvert, mais également rendre laeute elle-même en péril.

Elle continua à observé l'étrange spectacle au loin tandis qu'en elle curiosité et prudence se mennait un combat farouche pour savoir qui remporteraient cette guerre.

L'agitation de la créature continua un bon moment encore. Elle finit par se calmer, par contre, contrairement à l'orage qui continuait. La soirée et nuit s'annonçaient agitées pour l'Altérée

Artémis décida qu'il était préférable de chercher la cause de tout cela demain en journée plutôt que durant l'orage et en pleine nuit. La journée avait été longue du au voyage ce n'était pas le moment de commettre un impaire. La raison avait gagner sur la curiosité et Artémis redescendit de son perchoir pour rejoindre ses chiens et se préparer à dormir.

La nuit passa sans problèmes pour la scavenger et sa meute. Au matin, il n'y avait pas un son. La pluie s'était arrêtée, les larges feuilles étaient toujours humides et laissaient tomber des gouttelettes sur le sol. La terre humide formait plutôt de la boue, rendant le terrain difficile. Devant l'entrée de la cachette d'Artémis, d'imposantes traces de pattes griffues, et les sillons d'une queue, étaient visibles.

La vue des griffes et des traces affecta Artémis quand elle sortie de sa cache. Comment, mais comment avait-il réussi à passer devant sans que ni un chien, ni même elle ne le remarque. Elle était abasourdie et même effrayé. Et pourquoi cette chose n'avait pas tenter de l'attaquer ou de faire tomber l'arbre...

Et se silence... Elle le croyait du à l'orage, mais maintenant pourquoi ni avait-il pas de bruit. Se trouvait-elle sur le territoire d'un inconnue.

Artémis s'attarda sur les marques, leurs tailles, leurs fraîcheurs et leur direction. Elle intima l'ordre au chien de resté à l'intérieur et appella a elle Taktuq pour qu'il surveille ses arrières.

Les marques dataient de quelques heures déjà. La créature qui les avait fait devait être d'un très gros gabarie. Même, à la grosseur des pattes, elle devait dépasser la Mort des cieux en grosseur. Elles semblaient venir de l'endroit où les arbres s'étaient fait abattre la veille, et aller vers la direction d'où Artemis était arrivée. Dans tous les cas, il n'y avait toujours pas de bruits.

Elle entra dans son camp de fortune l'altérée regarda son bêta Asamir. Cette fois elle irait avec Taktuq, mais pas la meute en entier c'était trop dangereux. Elle fit un signe de reste et de garde au autre chien. Elle prit son fusil qu'elle passa en bandoulière. L'altérée et le chien partirent sur les traces étrange avec prudence et toujours à couvert.

Les traces passaient entre les arbres, zigzaguant sans destination visible. Elles étaient bien visibles, au moins, et faciles à suivre. L'Altérée eut, d'ailleurs, à pister la créature pendant quelques heures. Arrivé à un certain point, près d'une imposante montage recouverte de lichen mauve et d'arbres tout aussi étranges, Taktuq pu sentir la trace, beaucoup plus fraîche. La chose était dans les parages, c'était certain.

Pour continuer à s'approcher, Artemis devrait user de toute sa subtilité.

Artémis fit signe au chien de resté à sa place. Elle commença à escalader un arbre. L'altérée préférait être en hauteur face à une tel bête que d'être à la merci de sa taille. Elle commença à avancer de branche en branche d'arbre en arbre avec précaution et subtilité en faisant attention de ne pas être contre le vent.

L'approche d'Artémis par les arbres se fit lentement. Aucun son ne pouvait la guider, mais fort heureusement, les traces étaient visibles de là-haut. Elle dut monter à flanc de montagne, toujours de branche en branche, pour finalement, une fois sur un arbre qui était près du sommet, appercevoir quelque chose.

Le milieu de la montagne était en fait un cratère, assez profond. Au milieu, un genre de vieille structure trônait, recouverte de plantes grimpantes et de mousse. La structure semblait avoir été prise pour nid par des créatures. On ne voyait qu'un signe que l'une d'entre elle s'y trouvait: une longue queue, sortant de la mystérieuse structure, qui semblait puissante. La créature ne semblait pas seule, par contre. On captait cà et là les grondements de plusieurs individus.

Artémis s'assied sur la branche ou elle se trouvait. Se spectacle était inouïe à la fois magnifique et terrifiant. Qu'était cette structure... une ancienne civilisation? Une structure Mutalyte oublié? Certainement pas une création Orchid...L'altéré pris son carnet et un stylo et commença a noté et faire des croquis. Elle sortie de son sac une paire de jumelle et tenta de déterminer si la queue massive qu'elle voyait appartenait à une créature connu d'une taille atypique. OU bien si elle était fait de cuir, d'écaille si elle était velu ou plumeuse. Tant de question si peu de réponse l'excitation montait chez Artémis, elle grimpait presque autant que l'anxiété et l’appréhension. Cette créature immense n'était pas seule... est-ce que les autre individus était de même taille? Étais-ce des créature grégaire? Ou bien une niché? Si tel était le cas qu'est-ce qu'un animal de cette taille pouvait bien considéré comme une menace pour ses petits...

Elle resta un long moment à son point d'observation probablement tout l'avant midi. Ce n'est que quand le soleil fut au zénith qu'elle jugea bon de se déplacer et de retrouver Taktuq la ou elle l'avait laisser des heure au paravent.

La structure semblait repliée sur elle-même, comme si le poids du temps avait déformé les murs. De là à savoir en quoi elle était, c'était impossible à cette distance. Trop de mousse et de plantes la recouvrait.

La queue, elle, était dans une peau épaisse, semblant faite de cuir même, de couleur bleuté sur le dessus. Le dessous arborait une teinte plus beige. Sur le sommet de la queue, quelques plaques, soi osseuses soi d'écailles, formaient une crête spectaculaire, d'un noir parfait. On ne voyait toujours que cette partie du corps, la créature occupée dans la structure. Juste avec la queue, par contre, on pouvait facilement voir qu'elle ne correspondait à aucune description se trouvant dans le bestiaire.

Revenant vers son chien, la scavenger n'alerta aucun occupant du nid. Les bruits restaient les mêmes, entre grondements et grognements.

Artémis rentra à son camp de basse pour dîner et nourrir le reste des chiens. Elle passa une partie de l'après midi à camouflé son abris avec de large feuille et des fougères. Ainsi qu'a se créer une petite plateforme d'observation à la cime de l'arbre. Installant une corde pour pouvoir redescendre plus rapidement en cas de besoin. L'altéré se fit également une cache à même le sol face à son abris. Si un des individue était passé devant la nuit passé il était fort probable qu'il réitère se parcourt. Surtout s'il avait sentie la présence de nouveau arrivant sur son territoire. Cacher elle pourrait mieux l'observé, terre dans le sol recouverte de plante.

Le soleil commença à décroître et Artémis termina d'amasser du bois pour le feu. Elle plaça le tout dans l'abris avec les chiens. Leur donna se qu'il faillait pour manger et alla s'installer sur son perchoir pointant ses jumelles vers la colline. Ses créature devait probablement être nocturne.

Pendant le jour, Artémis n'eut aucun problème. Les créatures restaient dans leur montagne, sans causer d'émois. La nuit retombée, par contre, les choses changèrent. De son point d'observation, Artémis pu repérer une créature qui descendait la colline, doucement. C'était une quadrupède, qui utilisait ses pattes avant pour se stabiliser plus que pour marcher. Deux glorieuses cornes trônaient sur sa tête reptilienne. Sur son dos, un petit de la même espèce se tenait à la crête d'écailles, se servant de sa puissante gueule. Le parent semblait emmener son petit à la chasse, dans un silence parfait.

La créature: