The wild hunt (terminé)

En les voyant approcher Artémis descendit grâce à la corde. Elle se faufilla dans son abris. Dans celui-ci elle fit un signe au chien de resté calme. L'altérée pris son fusil et s'assied à l'entrée camouflé par les feuilles qu'elle avait installée plus tôt. Elle était prête à étudier la bête et à la voir passer.

Cette bête étair peut-être finalement l'inconnue dont parlait Meyers dans ses derniers communiqué. Mais sibtel était le cas... Les scavenger tomber sous ses griffes devait avoir été particulièrement malchanceux, ou très imprudent en explorant de jour...

La créature approcha, encore, puis repassa au même endroit que la veille. Elle ne faisait aucun bruit, tous ses pas calculés pour ne pas produire un seul son. Sa respiration profonde, elle, était perceptible.

L'adulte et son petit, toujours sur son dos, dépassèrent l'abris de l'Altérée. Le parent renifla un peu, mais continua son chemin. Visiblement, elle n'était pas intéressée par les odeurs.

Artémis pris une pierre et la lança sur le côté le plus loin possible pour voir la réaction de la créatures. Visiblement son odorat était peut-être peu développé voir exécrable. Il ne semblait pas avoir d'oreilles alors probablement que son ouïe comme la plus part des reptile connu était mauvaise. Il restait alors la vue, les vibration et le toucher. Si la chaleur l'attirait l'abris aurait déjà été repéré.

Entendant la pierre, la créature s'arrêta et renifla attentivement dans la direction du bruit. Un profond grondement lui échappa. Elle tourna la tête, saisit son petit dans sa gueule et sembla le gober net. Par contre, on voyait la queue dépasser et s'agiter doucement, entre les dents. C'était probablement une manière de protéger son petit.

Ne voyant rien, la bête se remit en chemin. Son imposante queue donna un coup contre un arbre, écailles premières, et le tronc se retrouva profondément marqué. Les écailles agissaient comme une scie dans cette situation précise.

Artémis souffla, la mère était donc très protectrice face à sa progéniture. Cela indiquait qu'elle ne devait pas avoir beaucoup de petit sur une porté et que dans le cas contraire le taux de survie des nouveaux nés était faible.

Artémis sorti pour suivre à distance respectable la mère et son petit.

Les créatures continuèrent donc, emmenant la scavenger dans leur routine habituelle.

Cette routine commençait par un genre de repérage. Le parent sentait les environs, les arbres surtout, et faisait parfois quelques marques de griffes. Pas sur tous les arbres, mais sur quelques-uns, qui semblaient spéciaux pour la bête. Elle passait quelques bonnes heures à effectuer cette recherche étrange.

Ensuite, laissant son petit à l'air libre, elle s'approcha d'un tronc marqué. Sa queue s'enroula autour de l'arbre, et se servant des écailles, ainsi que de ses griffes, elle finit par affaiblir le tronc, assez que l'arbre s'écroula. De son centre sortit un genre de grosse larve, horriblement boudinée et gonflée, que l'adulte fit rouler un peu avec sa queue. Le petit se fit donc montrer à chasser, avec cette dégoûtante larve comme repas. Avec sa grosseur, par contre, elle devait être une excellente source de protéines.

Continuant la "chasse", la créature refit l même manège avec plusieurs arbres. Tous ceux qu'elle avait marqué y passèrent, et dans chacun d'entre eux, elle dégota une grosse larve juteuse. Les autres, l'adulte les garda pour lui.

Se remettant en route, ils se rendirent, à quelques heures de marche, à un petit lac. Là, parent et petit s'y baignèrent. Le petit retourna sur le dos de son parent, malhabile dans l'eau à cet âge. Ils y restèrent de longues heures, s'abreuvant tout en profitant de l'eau, d'une couleur turquoise.

Le petit:

Insectivore, cette créature était insectivore voilà pourquoi elle n'avait démontré aucun intérêt à l'abris au creux des racines. Voilà une information rassurante se dit l'altérée. L'adaptation de cette créature était remarquable.

Mais une question restait en suspend. Comment réagissait la créatures face à un individu d'une autre espèce et plus petit quelle. En plus avec un petit cette situation était excessivement hasardeuse. Non se soir elle me s'approcherait pas trop. Elle remplirait sa gourde d'eau se ferait entrevoir, mais repartirait pour l'abris. Elle avait une idée pour le soir suivant. Elle prendrait un rythme plus nocturne pour étudier mère et progéniture.

Elle alla donc chercher l'eau sans s'approcher des deux, mais sans se cacher non plus, puis déguerpi pour retourner à son camp de base.

Elle attendit qu'ils repassent devant l'abris avant de décider de dormir. Le sommeil se ferait propices après les scènes presque magique au quel elle vennait d'assister. Et elle souriait intérieurement elle réussirait la ou les autres avait échoué par méconnaissance et témérité. Ce n'était après tout pas à la nature à s'adapter au gens du mur, mais bien le contraire. Vouloir la dompter était un geste tout simplement arrogant et prétentieux.

Artémis allant chercher de l'eau, ce fut le petit qui la remarqua, et non le parent. Il lâche donc un glapissement, d'une sonorité assez coquette. L'adulte se tourna un peu, mais au moment où il aurait pu voir l'Altérée, elle avait déjà décampé.

Quelques longues heures plus tard, le duo repassa devant la cachette. Ils retournaient à leur nid, visiblement, avançant toujours de manière silencieuse. C'était, en somme, une créature très subtile malgré son imposante masse.

Artémis se coucha donc une fois les créatures passé. Si elles étaient insectivore, pourquoi ni avait-il pas d'autre créature dans le secteur, pourquoi ne semblait t'il ni avoir pas âme qui vive excepté eux. Étaient-ils a se point territorial pour chasser tout autre animals présent? Ce n'étais pas logique...

L'altéré se leva passé midi. Elle avait cogité et émit un plan simple. Cette après midi elle chercherait avec sa meutte des trace d'autre animaux vivant sur le territoire de cette bête inconnue. C'était impossible qu'ils n'y est rien d'autre. Elle partie donc avec ses chiens à la traque de piste fraîche ou non , ainsi que d'indice sur le biôme de cette régions.

La scavenger passa quelques heures à chercher. Encore, aucun son ne se faisait entendre. Il n'y avait que le craquement des arbres, le son du vent dans les feuilles et la chaleur humide. Aucune trace d'autres bêtes, seulement celles des créatures inconnues. Les chiens pouvaient sembler agités, surtout l'Alpha de la meute. La source de son agitation, elle, de révéla plus tard.

Justement, alors que la fin de la journée s'amorçait, un boucan de fit entendre. Puis, passant près d'Artémis et sa meute, une créature passa. Elle était presque deux fois plus grosse que le parent que l'Altérée avait vu, mais avec du rouge sur sa crête d'écailles. Le bruit continua, et aux talons de la première, une autre créature apparut, encore plus grosse. Celle-là semblait extrêmement agressive. Elle talonnait l'autre, essayait de l'agripper avec ses griffes. Finalement, elle se propulsa avec ses puissantes pattes arrières, atterrit sur son adversaire et de mit à lui ouvrir le corps. Ses griffes lui ouvraient le dos, ses dents ascérées mettaient la nuque et la colonne vertébrale en charpie, sa longue queue arrachait les pattes arrières, sans ménagement.

Une fois la plus petite des deux morte, la plus grosse se mit simplement à dévorer le corps. Elle s'arrêtait pour hurler sa victoire, puis recommençait son festin. Sa queue battait l'air, et elle surveillait étroitement n'importe quel mouvement. Elle grondait, l'air enragée.

Artémis resta en retrait et observa la scène. C'est créature était donc également... cannibale? Voilà une habitude étrange. À moins que ce fut deux mal et que le plus gros soit l'alpha de se territoire et que le plus petit est trouver la mort en s'aventurant chez un rivale... Tant de question et si peu de réponse.

L'altéré tenta de remarquer si l’individu le plus imposant portait aussi du rouge sur la crête. Cela pourrait probablement l'informé sur la sexe de la créature. Puisque celle qu'elle avait vu auparavant n'en avait pas elle pris pour acquis que c'était une femelle et son petit et qu'elle avait devant elle en se moment au moins un mâle.

Elle fit signe au chien de resté silencieux et calme et s'assura de se mettre contre le vent pour que leurs odeur ne soit pas détecté. Elle chargea également son fusil de précision et mis en joue la bête la plus agressive, au cas ou.

L'imposante créature avait en effet du rouge sur la crête qui lui parcourait le dos. Il continuait de festoyer sur le cadavre, la gueule pleine de sang.

Après presque une heure, l'imposant mâle délaissa le cadavre. Il n'en restait qu'un flanc et les os, avec la tête intacte. La créature se mit donc en chemin vers les ruines, lâchant des hurlements bestiaux sur son chemin. Sa route se termina au nid, où les autres l'a cueillirent silencieusement.

Hum sur son chemin en suivant de loin la créature Artémis nota ses observations. Elle se promit de revenir près du cadavre de l'autre créature pour en prendre quelque morceau à des fin d'analyse en ville.

Quand ils arrivèrent au nid elle observa comment se passait les échange entre femelle et mâle ainsi que la progéniture. Voilà des information importante. Elle se plaça toujours contre le vent pour ne pas être repéré et fit signe au chien de se tapirent dans les fourré et les fougère haute pour ne pas attiré l'attention.

Au nid, les femelles se tenaient loin du gros mâle. Le petit, qui semblait être le même qu'au début des observations d'Artémis, était venu se blottir contre l'Alpha et lui offrait un nettoyage de la gueule, geignant comme s'il demandait de la nourriture. Le mâle finit par gronder, et le petit retour à se blottir contre une femelle, dont un ne voyait que la queue sortir de sous les plantes grimpantes, qui recouvraient la structure.

Le groupe était composé de trois femelles, d'un mâle et de visiblement, un seul petit. S'il y en avait d'autres, on ne pouvait pas les voir.

Artémis resta dans son arbre a regarder la scène se dérouler. 3 femelles... elle ne les avait jamais vu...Ou allait-elle la nuit? Était-elle gestante? Est-ce que cette créature pondait des oeufs... Si elle pouvait se rendre jusqu'au nid une fois observé tout cela.. peut-être aurait-elle une réponse... mais en même temps faire cela était excessivement risqué...

Elle continua d'observé le groupe en silence. Alerte au moindre bruit suspect autour d'elle.

Le groupe ne bougea pas vraiment de son emplacement, sauf au coucher du soleil. Les deux femelles inconnues partirent, et celle avec son petit resta. Le mâle vint dormir avec elle, la protégeant de son corps.

Aucun son étrange ne se fit entendre. Les deux femelles étaient déjà loin, et rien d'autre n'habitait la région.

Jour et nuit s’enchainèrent comme les grains de sable qui glisse lentement dans un sablier. De nuit Artémis observait les créatures et de jour elle s’occupait de son campement ou dormait. Jour après jour une routine presque martial. Aller chercher de l’eau, observer les marcheurs de silence, chasser, aller chercher du bois, faire un feu, construire. Avec le temps Artémis se mis bien en tête d’usé de cette endroit comme d’un nouveau campement plus permanant. Il lui servirait quand elle reviendrait, car oui inévitablement elle devrait revenir. Les vivre commençaient à s’amenuisé et la chasse n’était pas assez fructueuse pour elle et un groupe de 9 chiens. Ce n’est pas sans regret qu’elle savait qu’il faudrait reprendre la route et rentré.

Un dernière nuit, cette nuit en l’absence des femelles elle irait jusque dans le nid chercher au moins une preuve matériel, une écaille, une griffe, une dent de lait peu importait. Elle avait préparé les chiens pour qu’ils soient près à décoller dès les premières lueurs de l’aube. Cette fois elle irait en solitaire.

La routine d'Artemis fut accompagnée par celle des créatures qui, à tous les jours, faisaient leur recherche rituelle de larves, puis allaient se baigner. C'était toujours en duo, par contre. Toujours un adulte et un petit, jamais trois individus.

Les créatures ne s'étaient jamais intéressés à sa cachette, fort heureusement. L'arbre qu'elle avait utilisé comme campement ne devait pas abrité une larve, ce qui était une bonne nouvelle, en soi.

Seule exception à la routine de l'Altérée, au fils des jours: les passages du mâle. Celui-ci semblait plus curieux que la femelle et son petit. De ce fait, il s'était rapproché quelques fois du campement d'Artemis, mais jamais il n'y avait entré la tête. Il suivait les odeurs, fouillait patiemment son territoire. Comme la jeune femme avait pu le constater dans ses premiers jours d'observation, les mâles défendaient leur territoire violemment. Une nuit, elle put même avoir l'impression qu'une autre bagarre avait éclaté. Si elle était allé voir le résultat, ce n'était pas une créature blessée qu'elle avait trouvée, mais bien un cadavre.

Côté météorologique, cette zone en particulier semblait assez instable, voire humide. Les orages étaient courant, contrairement à l'État qui avait de la pluie légère de temps à autres. Ici, c'était des journées ensoleillées, ou bien des pluies violentes. Toujours à ces intensités, avec jamais d'entre deux.

La dernière journée s'écoula sans accrocs. La chasse était de moins en mois fructueuse, la seule source de nourriture dans le coin se trouvant à être les larves. Encore, comme à tous les jours, le duo de créature descendit de la montagne, quittant le nid, pour recommencer cette incessante routine. Le ciel était dégagé et aucun orage n'allait se montrer.

C'était le moment. Artémis pris ses armes au cas ou ainsi que son courage. Il était temps de regarder le nid de plus près. Dès que le petit et la mère furent partie, qu'elle confirma visuellement que le mâle n'y était pas et qu'il n'y avait pas non plus d'autre femelle. Elle approcha des étranges ruines ou nichait ses énormes reptiles. Avec précaution toujours contre le vent elle avançait à pas de loup. Les sens en alerte le stress bien présent. Tout en faisant son chemin vers le haut de la montagne elle observait les divers endroit ou elle pourrait se cacher ou se sauver. Si elle devait se sauver en vitesse elle voulait pouvoir se retrouver, mais également gagner du temps.

Les femelles et les petits avaient désertés le nid le temps de leur chasse de routine. Le mâle ne semblait pas sur les lieux non plus, ce qui était également une bonne nouvelle. Le silence était son seul accompagnateur pendant son entreprise dangereuse.

Les cachettes et échappatoires potentielles étaient vraiment au choix. Elle pouvait toujours se cacher dans la structure dans lequel le nid était fait, ou bien y grimper et s'accrocher à un arbre à partir de là. Il y avait beaucoup de chemins, que les créatures avaient fait au fil du temps, et ces zones-là étaient à éviter. Elle n'avait pas encore vu de ces mastodontes courir, et peut-être n'était-ce pas une bonne idée d'essayer de le voir en étant la proie.

La structure, elle, ressemblait à un long et large cylindre, dont on ne verrait que la moitié horizontale. Le temps s'était fait s'affaisser le dessus, qui s'était un peu replié sur lui-même. Entre les plantes grimpantes et la mousse on pouvait distinguer la couleur caractéristique du métal rouillé et usé par le temps. La structure en elle-même avait la grosseur d'une maison standard, mais en plus long. Ce qu'on pouvait deviner de l'ancienne architecture ne ressemblait à rien de l'État. Le nid avait été installé au milieu, et tout autour de cette zone de branchages de feuilles et de mousse avait été dégagé. Les créatures n'aimaient vraisemblablement pas le désordre près de leur nid.

À l'intérieur, par contre, on pouvait trouvé quelques morceaux d'un genre de mue, quelques écailles dorsales qui seraient tombées là, et même une imposante dent, appartement probablement à un adulte. Le silence régnait toujours, ce qui était un bon signe.

Artémis pris un peu de la mue ainsi que deux écailles. La dent étant trop grosse elle renonça à même la déplacer pour ne pas être ralentie. Faisant toujours très attention à l,endroit ou elle posait ses pieds pour ne pas déranger trop le nid l'altérée s'intéressa un peu plus à la structure métallique. Allant jusque dans le fond du cylindre pour comprendre se que cette étrange structure aie pu être un jour.

Toujours, le silence était son compagnon. Marcher sans ne rien déplacer était complexe, mais au moins, ce qui ne serait plus à sa place ne serait pas de gros morceaux. Quelques feuilles, quelques petites branches cassées, mais rien de principal.

Les ruines, elles, étaient un mystère en tant que tel. L'une des deux extrémités semblait ne plus être là. Ce qui l'avait vraisemblablement détaché était impossible à deviner. La séparation datait et les traces qu'elle aurait pu laissé s'étaient faites gruger par le temps. Beaucoup d'éléments, entre le feuillage et la mousse, laissait deviner que des choses avaient été installés au milieu de la structure. Les choses en elle-même n'y était plus, mais on pouvait voir des morceau sortir du sol, comme si elles étaient des points de fixation. Quelques autres morceaux de métal, tassés sur les côtés par les créatures, ne représentaient rien, déformés par la rouille et la forme des habitants du nid. À l'avant, on pouvait deviner un genre de bureau. Du verre cassé s'y trouvait, en dessous duquel on ne trouvait que de la terre et quelques pousses. Probablement que le verre en question avait recouvert quelque chose dans le bureau, vu qu'il semblaient en faire partie intégrante. Cette section, à l'extrémité qui n'avait pas été détachée, avait plutôt été écrasée. Par quoi? Encore une fois, mystère. Par contre, avec beaucoup d'observation, la jeune femme trouva quelque chose. Une plaque, sur l'extérieur avant de la structure, avait des gravures, encore visibles. Le langage était inconnue à l'Altérée, et ce qui y était dessiné ne ressemblait à rien de ce qu'elle connaissait. Avoir été quelqu'un de normal, Artemis n'aurait pu enlever le morceau. Mais avec sa queue, elle avait un avantage certain devant cette épreuve.

Les yeux de l’altérée s'illuminèrent quand elle trouva la plaque. Une trouvaille comme sa c'était probablement des mois de salaire! Qui avait dis que la témérité ne payais pas! Cependant encore fallait-il retiré cette plaque d'ou elle était.

Artémis sortie ses larges griffes de ses bras. Elle devait retiré se qu'il restait de soudure ou autre. Doucement elle s'affaira en grattant, en ouvrant et déchirant le métal avec ses griffes et sa queue. Prenant des pause pour s'assurer de ne pas être prise par surprise. Une fois terminer il était temps pour l'altérée de quitté. Il ne fallait pas se montré trop téméraire non plus. Elle rangea l'étrange plaque dans son sac et entrepris de redescendre la montagne.

Avec beaucoup de travail acharné, Artemis pu décrocher la plaque. Elle était vieille, rouillée... mais elle avait ces gravures particulières. L'opération prit donc beaucoup de temps, sans être silencieuse. Chaque fois qu'elle se retourna pour vérifier si elle était seule, elle ne trouva rien, sinon le silence.

Son travail fait, elle put retourner vers son campement. Par contre, quelques grondements se faisaient entendre, des créatures étant visiblement sur le chemin du retour. Elle avait encore la voie libre pour se mettre à couvert, la chose qui venait d'émettre le bruit n'étant pas en vue.

La plaque, elle, était assez lourde, mais restait facile à transporter. Ce n'était pas ça de plus sur l'attelage qui empêcherait ses chiens d'avancer.

Artémis se chercha un endroit pour se cacher. L'idée de tomber nez à nez avec une des créatures et particulièrement le mâle ne la rassurait pas du tout. D'un autre côté les regarder une dernière fois passé non loin d'elle n'était pas sans lui plaire. L'altérée se trouva donc une cachette pour profiter une dernière fois du passage des créatures. Elle quitterait ensuite avec ses chien pour retourner à l'État avec ses toute nouvelles découverte.

Elle se surprit à pensé que c'est Arya qui serait probablement fière de savoir se qu'elle rapporterait. Peut-être la scientifique pourrait passé l'éponge sur quelque mauvais moment avec cela.