À la recherche de la mignone petite créature

Regardant partout mais surtout l'homme rendu presque mollusque, il lui prit exactement 3 minutes 25 a "patcher" la créature pour être déplaçable.

-Messieurs ... nous sommes partis.

Replaçant son sac dans son dos. Une fois la créature stabiliser et son travaille fait, la nervosité de l’endroit la regagna à nouveau, plus que sur ces gardes, sursautant à chaque craquement de branche et brandille.

L'humanoïde, maintenant beaucoup plus docile, se laissa soigner. Il bougeait minimement, mais ne pouvait plus se dégager du Guérillas qui le tenait dans ses bras.

Les autres Défenseurs, eux, se mirent en mouvement dès qu'ils entendirent Vanille. Ils devaient protéger les gens de l'État, coûte que coûte. Celui le plus en arrière du groupe hurla soudainement un:

- Tango à six heures! Voilà l'autre qui se ramène! Grouillez-vous! Steph, avec moi! On les couvre!

Un deuxième Défenseur le rallia, et tous deux enclenchèrent un système sur leur armure, qui faisait résonner un bruit à en déchirer les tympans. Ils ouvrirent le feu en même temps, reculant tout en gardant l'attention du déchiqueteur osseux. Justement, désorienté par le bruit, la bête resta à distance quelques instants. Les balles qui ricochaient de temps à autres sur son épaisse armure naturelle la rendait un peu plus agressive.

Ainarik n'attendait que ça depuis qu'il a vu le cadavre du premier déchiqueteur osseux. Mais malheureusement pour lui il avait les mains prises et c'est ses comparses qui allaient jouer un peu...
Son équipe savait parfaitement réagir dans ce cas là, il n'avait pas d'ordres à crier autre que...

Allez on se bouge !!! la zone de sécurité est pas loin.

Le but maintenant était de maintenir la bête à distance avec les tirs de couverture en intensifiant la course de retraite jusqu'à rejoindre la zone devant le mur où le reste des guérillas pourront les couvrir sans mal.

la seule crainte du soldat alla pour la civil... c'était pas le moment de trébucher sur une branche.

Avançant au même rythme pour ne pas être une nuisance , elle ne s’arrêta pas quand ils annoncèrent l'autre bestiole en approche. Elle ne voulait pas devenir le prochain repas. Par contre .....

-AAAHHhhh...

La jeune femme s'effondra au sol , les mains sur ses oreilles pointues, fermement plaquer sur celles-ci. Elle ce roula en boule complètement immobilisé, hurlant de douleur.

Voyant la petite demoiselle tomber à terre un peu plus loin devant lui, le soldat continua sa route et gueula.

Allez doc ! C'est pas l'moment d'flancher !! Grimpez !

Le soldat se mit accroupi, glissa légèrement vers l’infirmière jusqu'à avoir la tête entre les jambes de la demoiselle, il continua le mouvement en se relevant sechement.

Hop sur mes épaules et accrochez vous !!

Le renforcement bionique de sa colonne dans son dos et la forme personnelle de son armure était parfaite pour servir de selle de fortune. La force de cyborg du soldat l'aidait bien sur le coup à servir de monture pour les deux cavaliers.

Les deux protecteurs continuèrent leur manœuvre, reculant lentement pour maintenir la pression. Voyant Vanille tomber au sol, un autre Défenseur couvrit Sykes, et aida la miss au besoin.

Quand tous se retrouvèrent à l'intérieur, les deux autres revinrent vers le mur, désactivant l'effroyable son. Ce fut plutôt le bruit d'une tourelle sur trépied qui se fit entendre, ouvrant le feu sur le déchiqueteur osseux, qui tourna finalement les talons.

Enfin à l'abris à l’intérieur du mur, l'expédition surprise fut finalement une réussite. Le soldat Sykes s'accroupit pour permettre à l'altérée de descendre puis demanda au service médical un brancard pour poser la créature. Reprenant son souffle, il se tourna vers les hommes qui l'accompagnèrent.

hé beh, ça défoule ! Une belle opération les gars, vous avez tous bien réagit ! Chris, j'te dois un canon à la taverne apparemment, t'as d'bon yeux...

Encore une fois on a prouvé que l'escouade Bleu était la meilleure des guérillas. Allez les gars prenez une petite pose et retournez à vos postes.

Enfin, il s'adressa à Vanille.

Vous v'nez avec moi dans la tente d'infirmerie ma p'tite, j'ai besoin d'éléments pour mon rapport et vous allez indiquer les détails aux médecins.

Le soldat ouvra donc la marche vers l'infirmerie où le brancard était déjà rendu.

Sur le dos de l'homme , elle regarda une dernière fois vers la foret avant d'entrée en ville. Et c'est la qu'elle la vue, la mignonne créature avec de jolie ailes ... Aux couleur mauves et vertes, larme à l’œil, elle soupira,ce voyant refuser un petit plaisir pour la énième fois dans sa vie.

Piteuse, elle suivit en silence les hommes de défense. Suivant le brancard qui apportait le blesser au poste de défense le plus proche. Elle expliqua rapidement dans les moindres détailles les blessures et la créature fut prit en charge par ses collègues soigneurs à ce poste.

Elle s'assit ensuite en silence et attendit ,la ,près de la porte que tout ce calme et que le tas de ferraille lui pause ses questions. Ce massant les tempes encore douloureuses.

Les Guérillas, tous encore sous l'adrénaline, se félicitèrent de leur réussite, s'assurèrent que tous allaient bien, puis s’exclamèrent. Ils étaient gonflés à bloc par la motivation et la fierté, et prêts à retourner en poste.

Le brancard, lui, fut emmenée dans le coin clinique. On installa l'humanoïde, puis le médecin de brousse écouta attentivement Vanille. Il alla ensuite s'occuper de son patient, non pas sans lâcher des jurons de totale incompréhension.

Le calme retomba, et le silence se fit finalement, seulement brisé par les geignements mélodieux de l'humanoïde, et les monologues momentanés du soignant.

Le soldat écouta avec attention vanille et le médecin. C'est qu'il avait des questions lui aussi, pour son rapport notamment, mais l'infirmier n'avait pas l'air d'en savoir beaucoup pour l'heure.

Alors doc ? On a affaire à quoi ? Un altéré ? Un animal ? J'ai jamais vu d'truc comme ça.
Une idée sur les chants qu'il émet ?

Peut être que le médecin devra pousser ses analyse pour répondre à toutes ses questions, ou le patient lui même...
Ainarik avança enfin vers la jeune demoiselle.

J'tenais en premier lieux à m’excuser m'dame, même si on s'en est plutôt bien tiré j'aurai peut être du vous forcer à rester en sûreté.
J'aurai deux, trois questions pour mon rapport... votre nom, votre fonction, ce que vous cherchiez dehors, si vous connaissez la créature qu'on a secourue et surtout quel crétin a permit à une jeune femme sans défense de sortir toute seule hors du mur ?

Il avait un air sévère, mais pas contre Vanille...

Vanille s'écrasa dans son siege , a la maniere d'un chat qu'on chicane elle ce fit toute petite , les oreilles plus basse, la tete rentrer dans son menteau les yeux tout petit.

- tant que l'ont montre nos identification , ont peut sortir hein... et j'avais dit que je n'allais pas loin et que je restais sur le pourtour du mur ....

Elle déglutie et regarda l'homme robot . Les pieds remonter sur la chaise , les bras autours des jambes, vraiment , elle ne prenait pas de place cette jeune femme.

-Je ... j'ai ... j'étais aller chercher un ...

Déglutie à nouveau , visiblement nerveuse.

-Je me nomme Vanille et je suis infirmière senior avancé... je suis futur médecin

Le médecin, en pleine procédure de débarrasser l'humanoïde de son attirail, eut un halètement de surprise ensuite, voyant finalement le visage et le reste du corps.

- Je... wow... heum... Je vous en reparle dans quelques instants. Je dois comprendre ce que je vois. Que... c'est toute une... un... ça...

Il se mit à son examination minutieuse, lâchant quelques grognements consternés en voyant les yeux, en cibles, de couleur dorée, suivre ses moindres mouvements.

Le soldat laissa le temps au médecin de reprendre ses émotions, il aura de toute façon un rapport complet de sa part en temps et en heure, il le savait bien.

Je compte sur vous pour m'tenir au courant.

Puis Ainarik prit note des éléments de la jeune demoiselle. Il se demandait quand même qui avait donné l'autorisation à une non scavenger de vadrouiller en dehors du mur, m'enfin... elle en avait déjà assez vu pour la journée sans plus la brusquer.

Ok Vanille. En tant que future médecin, notre découverte ne vous intéresse pas ? J'vous donne l'autorisation d'aller surveiller notre patient avec le doc apparemment on a touché l'gros lot !

Elle regarda ce qui ce passa aux alentours plutot, les médecins qui s'affairait au niveau de la créature.

-Je vais attendre qu'ils aient terminé ...

Ce qu'elle fit puis , une fois calme autour de lui ... ou elle, elle s'approcha une chaise près de la chose. Du côté de sa main valide qui pendait hors du lit , elle la prit dans la siennes et la caressa quelque peu , comme pour remonter le moral. Fredonnant aussi pour appaiser l'âme de monsieur ou madame Bleu.

- Les scanvengers vont être quelque peu jaloux de ne pas l'avoir découvert.

Toujours le regardant.

-Qu'elle dommage qu'ont ne comprend pas ton merveilleux langage.

Le médic se contenta d'acquiescer, continuant son examination. Il y allait par quelques palpations légères, écoutait également attentivement, ne voulait rien manqué. Parfois, même, il approchait suffisamment sa tête du corps de la créature pour que ses cheveux courts la touche. Il fit des soins un peu plus poussés également, faisant des points de suture quand nécessaire, et des caraplasmes dans d'autres cas.

L'humanoïde, lui, tentait de bouger mollement. Il en était incapable, par son manque de force, mais aussi à cause de son soigneur qui l'empêchait gentiment de fuir. Vanille prenant sa main, elle put sentir la douceur de la peau duveteuse, aussi la fraicheur de la main. Également, elle pu capter une marque dans la paume. Les doigts tressautaient aux caresser, se resserrant parfois autour des siens. Les deux pouces offraient une prise solide, mais pas douloureuse.

- Bon... Je crois pouvoir dire que le coeur et les poumons, ou ce qui s'en rapproche, sont dans l'abdomen. Il ou elle a eu de la chance de ne pas se faire écrabouiller les organes vitaux. Juste par cette observation, je confirme que ce n'est rien de ce que nous avons vu. Ce n'est pas un Altéré. Quelque chose d'autre.

Il regarda les autres, d'un air à la fois incertain et heureux.

- Je... monsieur, je ne sais pas si nous devons le... Vous savez, "l'annoncer". Je sais que c'est notre devoir... mais combien vont essayer de le tuer, et combien d'autres vont vouloir le disséquer?

Le soldat Sykes regardait le docteur procéder à ses examens médicaux en silence puis se laissa légèrement adoucir par le comportement de Vanille vis à vis de la créature.
Un peu surpris par les propos du docteur. Ainarik le recadra doucement.

Je dois en faire part à ma hiérarchie doc, à eux de voir ce qu'ils vont faire de l'infos. Chaque découverte est cruciale pour notre avenir et on doit faire confiance à l'état major.

Le soldat savait ce qu'il devait aux gardiens. Il n'allait pas jouer double jeu, jamais.

Et puis, il est dans le mur maintenant, c'est notre devoir de gardien de le protéger contre toutes menaces. Qu'ils essayent de s'en prendre à lui dans l'avant poste, ils auront affaire à moi. Après, je vais dire à mes hommes de pas ébruiter l'infos suivant vos conseils docteur, ils m'écouteront, après... je ne peux rien proscrire à la jeune infirmière.

Le soldat l'a regarda.

Libre à elle d'en parler, c'est elle qui l'a sauvé après tout.

-Ah non ! ils vont l’ouvrir en deux et qui sait les autres horreurs du genre qu'ils vont lui faire!

Elle examina la marque dans la main de la créature, et elle retourna son regard vers les yeux de la chose, lui souriant , ce voulant rassurante.

-Et puis, Si il veulent ce rendre utile ... pourquoi ils n'ont pas encore disséqué un de c'est monstre dehors ? Il cherchait clairement a ce défendre contre ce qui l'a attaquer et clairement que ces gens sont intelligent ou ont une civilisations avec de la technologie , regarder ce qu'il a pour respirer et son arme ! Ce n'est pas primitif et encore moins un animal.

Elle retourna son regard orangé vers les deux hommes. Plein de courage.

-Faudra me passer sur le corp et me tuer avant que je laisse quelque chose arrivé à cet créature!

Le médecin grimaça. Son regard passa de l'humanoïde à Ainarik, et il soupira longuement.

- Je fais confiance aux Défenseurs, sans aucun doute. J'en fais partie, donc... Mais les scientifiques... qui sait ce qu'ils font dans leur labo? Ça...ça me met mal à l'aise. Et on ne peut simplement pas, en tant que Défenseur, permettre que quelque chose soit fait à cette chose. Autant un civile qu'un scientifique, personne n'a le droit de lui faire du mal.

Il grinça des dents, puis écouta Vanille. Les paroles de la jeune femme le rassurèrent.

- Comme elle dit, cette personne est intelligente. C'est contre notre code morale de le changer en sujet de test.

La marque dans la main de l'humanoïde était plutôt une fente. Même, ladite fente donnait sur un petit espace, dans la paume. La créature se remit à ses geignements et marmonnements mélodieux, mais d'une manière particulière. On pouvait capter trois voix, qui parlaient de concert. Une grave, une normale, et une aiguë, chacune disant des mots musicaux, qui se complétaient de manière complexe. Ça ressemblait à s'y méprendre à un nom, qu'elle aurait répété, comme un blessé inquiet. Les dessins dorés, partout sur son corps, se remirent à briller, de mille feus, et Vanille put sentir une certaine chaleur revenir dans la main fraîche. Même, quelques blessures semblaient se refermer, lentement.

Le soldat Sykes avait bien noté l'avis de Vanille et du doc. Il sentait lui aussi qu'il valait mieux cacher cette découverte aux scientifiques. Mais il devait aussi prévenir son chef d'unité, c'était son devoir de soldat. Ainsi, pour lui il ne serra pas question de cacher la créature mais de la protéger et ce même des ennemis interne de l'état.

D'accord, d'accord ! Très bien... m'enfin comment il va ? Les blessures lui font encore mal ? Vous pensez qu'on peut communiquer avec lui ?

Le guérillas sorti l'arme de la créature suite aux dires de Vanille...

En effet... il a l'air intelligent...

Puis le soldat inspecta l'arme avec prudence.

Vanille ouvrit grand le yeux quand elle vit les marque dorée s'éclairer et les ferma rapidement car la lumière lui fit mal au yeux. elle ne lâcha pas la main pour autant mais mit celle de disponible devant ses yeux sensible.

-Qu'est-ce que !!!!

Quand l'intensité baissa , elle regarda ahuri la créature , la bouche ouverte comme a la manière d'un poisson.

Le médecin haussa les épaules, visiblement soulagé, pour ramener son attention sur son patient peu commun.

- Des blessures du genre font mal longtemps. Je pourrais lui donner des anti-douleurs, mais ne je sais pas comment son organisme réagirait... Parlant d'administration de remèdes, auriez-vous donné quelque chose à... Monsieur Bleu?

Puis, voyant aussi les dessins se mettre à briller, le médecin recula vivement, pour sembler perplexe.

- Je... c'est intelligent... Mais nous ne le comprenons pas... Et je ne sais pas s'il comprend ce que nous disons, alors... Merde. De la bioluminescence? Non, pas du tout...

Il s'approcha un peu, pour constater que quelques blessures s'étaient améliorer. Il le prot en note, puis continua d'observer.

L'arme, elle, était toute en courbes, avec d'élégantes gravures qui la décoraient. Le métal était à la fois argenté, bleu et mauve, changeant selon l'éclairage. La fresque de deux combattants faisant un duel décorait le canon long. On ne voyait pas de chargeur, ni de lunette de visée. Le modèle faisait penser à un fusil d'éclaireur.

L'humanoïde cessa finalement de briller, puis sembla mieux respirer. Il essaya même de s'asseoir, mais le médecin le retint gentiment, ne voulant pas qu'il se fasse mal.

Ainarik idolâtrait l'arme de la créature, il aurait aimer que son machinegun soit aussi élégant, mais était-elle aussi puissante que l'arme du lieutenant ?
Sykes la contemplait sur toutes ses coutures, si le trophée du médecin et de la jeune demoiselle était l’espèce de poisson chantant, pour le soldat c'était visiblement l'arme aérienne. Il avait hâte de pouvoir l'utiliser même s'il savait qu'elle allait passer d’abord dans les mains de ses supérieurs.

Regardez sur l'arme là... on dirait un dessin d'un duel. J'sais pas si on peut parler à m'sieur bleu mais on peut communiquer.

Le lieutenant demanda à un soldat en dehors de l'infirmerie de lui apporter du papier et un crayon. Puis avec cette nouvelle "arme" entre les doigts il gribouilla comme il pu deux dessins:
- L'un avec la petite compagnie... une silhouette avec de grande oreilles pour montrer vanille, une grosse masse en armure pour représenter le lieutenant, la blouse blanche pour le doc et la créature. Tous unis et souriant main dans la main. L'image était renforcer sommairement par des signes d'amitiés visibles dont un coeur...

- L'autre représentait une maison, très simple... comme savent le dessiner tout soldat nul en dessin... avec plusieurs créatures autours. Visiblement le lieutenant voulait lui demander d'où il venait.

Sykes espérait apaiser ainsi la créature puis lui donna, ainsi qu'aux autres en espérant qu'ils soient plus forts en dessins que lui, du papier et du crayon pour que tout le monde puissent s'exprimer à son tour.

Visiblement la petite femme était sans mot , elle aussi regardait les blessures rendus pour quelque unes, fermé. Regardant le médecin et le soldat , elle ne savait que dire. Mais , elle ne pu s’empêcher de rire un peu quand elle vit les talent d'enfant de 5 ans des dessins de Sykes.

Quand monsieur bleu commença a bouger , elle tourna son regard vers lui .

- Chhhhut ... Doucement.

Lui tapotant la main doucement .

Le médecin, qui retenait toujours doucement l'humanoïde d'une main, eut un petit rire en voyant le dessin. Lui n'était pas meilleur, alors il n'ajouta rien de son côté.

- Bonne idée. Supposant qu'ils ont des concepts comme les nôtres... Mais bon.

Ne semblant pas d'accord à rester immobile, l'humanoïde essaya de nouveau de se redresser, lâchant la main de Vanille dans le processus. Il réessayait, mollement, chaque fois que le médecin le repoussait gentiment.

- J'espère que je n'aurai pas à lui donner des calmants...

Le médecin sembla insatisfait, n'aimant visiblement pas avoir quelque chose d'inconnu qui s'agitait près de lui. Il ne donna pas vraiment d'attention au papier, tout comme Monsieur Bleu, qui continua ses tentatives de redressement.

Ainarik repondit au docteur.

J'avais pensé à ça vu le dessin sur l'arme. On dirait un duel, A la limite refaire le même dessin par la négation pourrait montrer que nous sommes amis mais bon... je suis...

Il ajouta en regardant Vanille rire à coté de lui.

Un peu nul en dessin...

Puis le soldat regarda monsieur bleu s'agiter, toujours occupé à vouloir se redresser.

Il a l'air d'aller mieux doc, vous voulez pas le laisser faire ? Il tente peut être une approche.
Je pense que je n'aurai pas de soucis à le maîtriser au pire.

Le lieutenant savait que la créature n'avait plus d'arme, sinon elle l'aurait utilisée contre eux en dernier recours dans la forêt au lieu d'essayer par tout les moyen d'attraper l'arme élégante.
Puis le soldat se tourna vers Vanille.

Vous êtes douée en dessin jeune demoiselle ? Vous pensez que vous pourriez me faire un croquis de la créature pour mon rapport ?